Les Portes de l'Ère Nouvelle - Karma et grippe aviaire

Karma et grippe aviaire

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Chacun d’entre nous est individuellement et personnellement responsable du possible déclenchement d’une pandémie massive de grippe aviaire.

La transition vers l’avènement de l’Ère Nouvelle passe et continuera probablement de passer, quelque temps encore, par une période purificatoire et expiatoire. Il y a même désormais fort à parier que notre mémoire cellulaire conservera à jamais un souvenir vraiment peu agréable de cet épisode tourmenté et chaotique.

Les Maîtres de Sagesse qui régissent nos destinées, nos réincarnations et nos chemins d’évolution, connaissent parfaitement nos limites, nos faiblesses et les inexorables conséquences karmiques de nos manquements répétés à la grande Loi d’Amour. C’est pourquoi Ils ont prévu et organisé depuis des éons différentes épreuves dont l’unique enjeu est de nous élever vibratoirement, afin de nous permettre d’accéder à un nouveau palier d’évolution. Parmi ces épreuves figure celle de la confrontation aux conséquences de notre attitude indigne à l’égard du peuple animal.

L’homme était censé être le Gardien de sa planète, le protecteur de sa faune et de sa flore ; il en est malheureusement aujourd’hui devenu l’exterminateur. Nous avons inventé il y a quelques décennies la notion de « crime contre l’humanité ». Mais il existe au sein de la Fraternité des Planètes à laquelle nous avons tous vocation d’appartenir prochainement, un crime bien plus vaste et bien plus grave que le « crime contre l’humanité » ; c’est le Crime contre la Vie.

Notre Mère, la Nature, ne peut pas accepter indéfiniment que des êtres vivants, fussent-ils des animaux, soient considérés uniquement comme des « produits » et élevés dans des conditions de souffrance abominables avant d’être massacrés pour être dévorés. Même si la plupart des animaux ne possèdent pas une conscience individualisée comme celle de l’homme, ils ont un corps émotionnel aussi développé que le nôtre et souffrent atrocement de ces conditions de vie épouvantables qui leur sont infligées et qui n’auraient jamais dû exister.

La totalité des animaux dits « de ferme », mammifères, mais également poules, volailles et ovins divers, devraient depuis longtemps être élevés uniquement pour les produits que la Nature leur permet d’offrir à l’humanité, qu’il s’agisse de leur lait, de leur laine, ou de leurs œufs, mais en aucun cas de leur chair.

Aucun animal n’a jamais consenti librement à donner sa vie en pâture à l’homme. Par conséquent, l’homme n’a aucun droit sur cette vie ; il n’a aucun droit de transformer les animaux en cadavres et de s’en nourrir. Tous les animaux, sans exception, devraient pouvoir continuer à vivre et à évoluer librement. En les privant injustement des bonnes conditions d’évolution mises généreusement à leur disposition par la Nature, l’homme se retrouve aujourd’hui confronté à un inéluctable choc en retour. Ce choc n’est que la transcription mathématique de cette Loi karmique absolue qui veut que « celui qui fait périr par l’épée doit tôt ou tard périr par l’épée ». De la même manière, celui qui a exterminé les animaux pour s’approprier leur énergie vitale devra à son tour être décimé par les animaux.

Le virus responsable de ce que l’on a déjà commencé à appeler « l’épidémie ou la pandémie de grippe aviaire » - bien que le H5N1 n’ait fait jusqu’ici en plus 3 années qu’une soixantaine de victimes dans le monde entier (à mettre en balance avec les 100.000 morts imputables chaque année à la grippe dite « classique » !) – n’est qu’une application basique de ce principe universel de cause à effet que les Orientaux nomment Karma.

Après avoir été torturés pendant des mois dans des camps de concentration pour ovins, au nom du soi-disant « principe de précaution », des poules, des oies et des canards sont jetés et entassés vivants par centaines dans des poubelles avant d’être brûlés vifs par milliers dans des fosses communes. Comment l’homme peut-il croire échapper à son karma en se comportant ainsi envers les animaux ?

Aujourd’hui, il n’est pas une région, pas même un arpent de la Terre qui ne soient souillés de sang animal par la faute de l’homme. Tout ce sang versé crie vengeance devant le Ciel ! C’est pourquoi la pandémie aviaire constitue désormais une menace à prendre très au sérieux. Certains qui, dans leurs laboratoires, travaillent depuis longtemps à l’asservissement de l’humanité au Gouvernement mondial de l’Ombre ne le savent que trop bien. Ils utilisent à présent cette menace pour créer une situation de psychose internationale et accélérer ainsi, en toute impunité, la mise en place de leurs projets démoniaques.

Car pour se sortir de l’impasse, la solution n’est certainement pas de massacrer à nouveau des millions d’oiseaux dans des conditions épouvantables ; cela ne fera qu’accélérer le processus karmique qui conduira inéluctablement le virus H5N1 à muter plus rapidement et à contaminer un nombre d’êtres humains bien plus grand encore. La solution n’est pas non plus de se faire vacciner ni de prendre préventivement des médicaments dont plusieurs variantes sont déjà soigneusement entreposées dans les stocks internationaux gérés par les administrations des pays du G8, car il est vraisemblable que des substances incluses dans certains de ces vaccins et de ces médicaments n’aient pas d’autre objectif que de faciliter un contrôle à distance des consciences par des intelligences malveillantes au service du « Nouvel Ordre Mondial ».

Plusieurs canaux d’Êtres immatériels - dont le slovène Ishtar Antares, qui semble particulièrement fiable - affirment que certains groupes pharmaceutiques font depuis des années des bénéfices colossaux en « guérissant » des maladies transmises artificiellement par des laboratoires secrets, et que des révélations pour le moins stupéfiantes devraient bientôt être transmises à ce sujet au grand public. Ne dirait-on pas que ces exterminateurs de poules (ci-dessus à gauche) et ces chercheurs en train de tester un nouveau vaccin anti-grippe aviaire (ci-dessus à droite) portent le même « uniforme » et le même masque ? (N’oublions pas que le Prince de ce monde déteste être reconnu et que ceux qui le servent agissent rarement à visage découvert !)

Voici ce que dit l’astrophysicien Jean-Pierre Petit à propos des nouveaux vaccins actuellement à l’étude dans certains laboratoires (évoquant la micro-puce sous-cutanée dont la menace de l’implantation généralisés et ses probables méfaits sur l’humanité ont déjà été évoqués sur notre site (Cf. notre page La terrible menace de la micro-puce électronique) :

« Partout désormais on vante les mérites de la puce sous-cutanée. Données médicales, repérage des personnes fragiles, marquage des délinquants sexuels, des individus considérés comme dangereux. Puis, un jour, marquage tout court ! L’argument est simple : " Pourquoi refuser cette technique, si vous n'avez rien à cacher ? " Mais comment faire en sorte que la puce puisse être intégrée dans le corps des individus qui refusent malgré tout son implantation ?

J’ai déjà évoqué un système permettant d'implanter des puces microscopiques par dizaines ou centaines de millions chez des êtres humains, via une vaste opération de vaccination. Ainsi, les êtres humains viendraient d'eux-mêmes se faire équiper à leur insu. N'est-ce pas une merveilleuse formule, sans brutalité ni contrainte ?

Mais, comment faire pour que ces micro-puces viennent se loger là où elles pourraient rendre les plus grands services (à ceux qui souhaitent nous contrôler) : dans le cerveau, bien sûr !

Alors doit-on imaginer un système sophistiqué qui puisse les acheminer dans nos encéphales ? Même pas ! Cela peut se faire tout seul. Il suffit que ces micro-puces aient une densité inférieure à celle du sang. Je vais vous expliquer…

On n'en logera pas une seule dans l'ampoule du vaccin salvateur, mais plusieurs. Le sang charriera ces minuscules "bulles"…

Une fois ces puces coincées dans un capillaire de l'oreille interne ou dans le cerveau, elles seront indélogeables et pourront alors servir d'antennes pour recevoir des signaux sous forme de mircro-ondes pulsées. Des signaux qui, attaquant un réseau nerveux lié à l'audition pourront créer des hallucinations sonores ou, pire encore, conditionner des individus grâce à des messages délivrés de manière subliminale, c'est-à-dire sous un niveau sonore que le sujet ne percevra pas consciemment mais à travers lequel on pourra pratiquer sur lui un subtil "bourrage de crâne" à son insu. Par "niveau sonore" il faut entendre "niveau de perception", car alors ces signaux ne passent plus par le système récepteur des ondes sonores : le tympan.

Nous avons déjà mentionné les effets auxquels on pourrait s'attendre en agissant dans la masse du cerveau à l'aide de tels récepteurs. Il ne s'agit nullement de science-fiction. Ces techniques ont été testées avec succès dès le début des années soixante-dix, en utilisant comme effecteur des micro-ondes pulsées. Celles-ci pourront être délivrées à partir de satellites arrosant de vastes régions, ou émises par des centrales émettrices et plus spécifiquement par vos ... téléphones portables.

Le système HAARP a été conçu, entre autres, pour tester un système de "crowd control" (contrôle des foules) à l'échelle de pays entiers. Les Russes possèdent un système analogue. Les États-Unis et la Russie maîtrisent déjà parfaitement cette technologie. »

Aucun des moyens proposés par nos gouvernements pour enrayer la menace de pandémie aviaire ne devrait donc être accepté par les populations. Le seul moyen efficace que l’homme puisse désormais utiliser pour se prémunir contre ce fléau, s’il n’est pas déjà trop tard, serait de changer rapidement, radicalement et fondamentalement son attitude envers le peuple animal : il faut considérer maintenant les animaux, TOUS LES ANIMAUX, comme de petits frères et de petites sœurs fragiles que nous avons pour mission d’aimer et de protéger. Il n’y a pas d’autre solution !

Voici ce que disait, il y a déjà près de 30 années, le Maître Ascensionné Hilarion sur cette question des volailles et du rôle qu’elles auraient à jouer durant les Tribulations.

« …Le Cheval n'est pas le seul animal à avoir été désigné pour jouer un rôle important dans le temps avant les dernières années de tribulations (Cf. notre page La mission des Anges-Chevaux). L'exemple de la poule mérite lui aussi un commentaire.

Chaque poule est capable de fournir des œufs presque continuellement durant toute sa vie et de contribuer ainsi à l’alimentation de nombreux êtres humains. Parmi tous les aliments, les œufs produits par les poules domestiques sont l'une des plus importantes sources de protéines.

Ce n'est certes pas par accident que cet oiseau en est venu à être géré par l'homme pour ses besoins alimentaires. Il y a plus de cinq mille années, les hautes Entités qui organisent les conditions de votre évolution avaient déjà compris que le nombre d'âmes humaines réclamant l'opportunité de s’incarner à la fin du Kali Yuga afin de bénéficier des épreuves liées à la Grande Tribulation pour activer la libération de leur karma, excéderait largement les six milliards. Parmi la série des moyens envisagés dès cette époque pour permettre aux multitudes à venir de survivre au temps de la Transformation, il fut notamment décidé de fournir à l'homme une source d'alimentation riche en protéines, qui ne requerrait pas d'abattage et pourrait être élevée facilement et sans grand coût.

Toutes les variétés de volailles existant à l'époque furent soigneusement examinées et triées, afin d'en déterminer une qui soit la mieux appropriée à l'altération génétique nécessaire pour la rendre conforme à cet objectif. Une fois l'espèce identifiée, un programme expérimental fut établi en Agartha, dans le centre de la Terre, dans le but de développer une race de poules résistantes et hautement productives. Cette espèce servit de source génétique animale à partir de laquelle des sous-espèces furent créées en fonction des différentes conditions d'environnement existant à la surface. Quand un nombre suffisant d'oiseaux furent produits, on les lâcha sur les différents continents, avec l'espoir que l'humanité apprécierait leur valeur et organiserait avec sagesse la production des œufs. Mais les bas instincts de l'homme lui ont malheureusement suggéré d'élever les poules pour les manger plutôt que pour se nourrir de leurs œufs.

Il fut un temps, il est vrai, où vous aviez été autorisés par vos Guides à utiliser les oiseaux pour nourriture. Mais voilà déjà plus de mille de vos années que la consommation humaine de viande et de volatiles devrait avoir entièrement disparu de la surface terrestre.

Les quatre éléments, Terre, Eau, Air et Feu correspondent aux quatre principales sources d'alimentation qui étaient permises à l'homme pendant la période préparatoire. La Terre était représentée par les racines et tous les légumes qui poussent sous sa surface, l'Eau par les poissons et toutes les créatures qui peuplent les rivières, les lacs et les océans, l'Air par les oiseaux, et le Feu par les fruits et les légumes qui poussent hors de la terre, dans la direction du Soleil, et qui demandent beaucoup d'énergie solaire pour parvenir à maturation.

À l’époque où ils étaient encore autorisés à se nourrir des oiseaux, il avait été enjoint à diverses reprises aux humains de ne pas utiliser la chair du poulet comme aliment. Mais vous avez méprisé les avertissements répétés de vos Guides et la consommation de volaille s’est répandue rapidement à travers les populations sur toute la planète.

En raison de cette transgression, une imperfection génétique fut introduite dans toute la lignée des poules pondeuses, de telle sorte qu’elle n’interfère pas avec les œufs eux-mêmes mais rende la carcasse susceptible de développer des bactéries dangereuses, une fois l’animal tué. C’est pourquoi les poulets frits ou cuits de façon imparfaite sont aujourd’hui facilement contaminés par des salmonelles ou d’autres bactéries qui infectent ceux qui les mangent.

NOTA : Dans le langage courant, les virus et les bactéries sont assimilés à la même chose et regroupés sous le terme de microbes. La réalité est tout autre : virus et bactéries n'ont rien de commun, à commencer par la taille ; en gros, celle de la bactérie est au virus ce que celle de l'éléphant est à la souris !

Le virus ne fait pas véritablement partie du monde vivant car, contrairement à la bactérie, il ne respire pas, ne peut avoir de mouvement propre, il ne grandit pas et ne peut se reproduire seul. C'est une sorte d’interface entre le vivant et le minéral.

Les bactéries au contraire sont des micro-organismes vivants, individualisés et autonomes, capables d’évoluer et de s’adapter rapidement à leur environnement. Ils ne sont pas tous pathogènes : il y a environ une centaine d'espèces pathogènes sur 5.000. Mieux, certaines bactéries vivent en symbiose avec l'homme. Par exemple, de nombreuses bactéries du tube digestif sont indispensables à la digestion et à la production de vitamine K.

Pendant la période de troubles qui précédera l’avènement de l’Ère Nouvelle, la susceptibilité aux bactéries des viandes de poulets fraîchement abattus augmentera à un point tel que la contamination par la volaille deviendra une expérience banale pour ceux qui continueront à en manger. Le nombre des oiseaux domestiques diminuera considérablement du fait de la crainte de la transmission de nouvelles bactéries et de nouveaux virus à l’homme. Il s’ensuivra des abattages massifs ; la ponte en sera affectée et les œufs deviendront une denrée extrêmement rare et chère.

Après les tribulations, les humains ne consommeront plus la chair du poulet, et la capacité de ponte sera pleinement rétablie et même augmentée par rapport à son niveau actuel. La poule continuera à être une abondante source de protéines pour l’humanité. Cependant les conditions dans lesquelles l’âme de cet animal est forcée de vivre seront complètement modifiées, ce qui entraînera une amélioration considérable de la qualité nutritive des œufs. Un œuf suffira là où deux sont nécessaires actuellement. »

Extrait de : « Hilarion : le Temps des Tribulations »
Canalisé par Maurice Cooke en 1979 - Éd. Ramuel 1998
Présentation : Olivier de Rouvroy - Novembre 2005

NOTA : Vous êtes nombreux à m’avoir écrit pour vous procurer le livre « Hilarion : le Temps des Tribulations. » (Éd. Ramuel). Cette importante transmission d’Hilarion, que j’avais eu le privilège de traduire il y a quelques années, est malheureusement épuisée et ne sera sans doute plus jamais rééditée. Elle reste cependant d’une brûlante actualité. C’est pourquoi des extraits en sont régulièrement mis en ligne sur notre site.

OdR

- Le texte de Jean-Pierre Petit dont un extrait figure dans l’introduction de cet article, est disponible dans son intégralité

ICI

- Ceux qui se sentent concernés par l’amélioration du sort et de la condition des animaux à travers le monde peuvent se rendre

ICI

- Autres messages inédits d’Hilarion retranscrits sur notre site :

Arbres et fin des temps.

La mission des Anges-Chevaux.

Les événements à venir.

La Nouvelle Page du Grand Livre de l’humanité.

Vivons dans l’abondance.

L’Esprit de Guérison.

Recommandations diverses.