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 Les 3 Mondes d'Hermès

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Les 3 Mondes d’Hermès Trismégiste à la lumière de l’Enseignement d’Ashtar Sheran.
 





Complément à notre page : « Technologies supra-luminiques. »

Se déplacer plus vite que la lumière deviendra peut-être pour l’humanité de demain un simple jeu d’enfant. Mais avant d’en arriver là, il nous faudra acquérir et maîtriser une nouvelle technologie : celle de la télépathie électromagnétique. Grâce à elle, nous serons en mesure de commuter les polarités de nos moyens de locomotion et, par aspiration antigravitationnelle, de surfer, comme sur les vagues d’un océan, le long des zones de compression de l’espace-temps qui parcourent l’immensité de la trame cosmique. C’est ainsi que nous acquerrons la connaissance des « 3 Mondes ».



La tradition ésotérique occidentale rapporte qu’Hermès-Thot, fondateur présumé de la religion solaire égyptienne, fut également l’auteur de la célèbre Table d’Émeraude, où il est écrit que « Tout ce qui est en bas est comme ce qui est En Haut ». Les Pythagoriciens de la Grèce Antique lui avaient attribué le nom de « Trismegistos » ou « Trismégiste » - ce qui signifie « trois fois grand » - car selon eux, « il possédait la Connaissance des trois Mondes. »

Des chercheurs, des historiens, des philosophes et des occultistes ont, des siècles durant, cherché à comprendre ce que signifient ces « trois Mondes », à quels plans de conscience et à quelles réalités ils se référaient dans les anciens Mystères égyptiens, orphiques et éleusiens.

Certains ont estimé que les trois Mondes étaient ceux du corps, de l’âme et de l’esprit, ainsi que l’enseigne la théologie chrétienne. Il existe en effet un monde physique, qui correspond au niveau de la matière et que nous expérimentons au cours de nos différentes incarnations
terrestres, un monde spirituel, celui de l’âme immortelle, que nous rejoignons en fin d’incarnation, et enfin un monde divin, celui de l’Esprit éternel et tout-puissant.

D’autres y ont vu une manière ésotérique d’évoquer la confrontation de l’être humain à une réalité de type tridimensionnel, à l’intérieur de laquelle nous nous exprimons grâce aux trois instruments que sont notre intellect (vecteur de la pensée), notre cœur (vecteur du sentiment), et notre volonté (vecteur de l’action). - C’est ce qu’enseignait notamment le grand Maître bulgare Omraam Mikhaël Aïvanhov.

Les trois Mondes d’Hermès recouvrent et incluent ces deux approches, mais il se réfèrent surtout à une autre réalité qui, jusqu’ici, n’a pas encore été clairement identifiée par les spiritualistes : il s’agit de celle de l’antimatière et de l’anti-univers.

Selon l’enseignement d’Ashtar Sheran, Commandeur de la Flotte Intergalactique, notre Univers est en effet triple, car il est constitué de trois essences : une essence matérielle, une essence antimatérielle et une essence spirituelle. L’Univers (avec un grand U) se compose ainsi de trois « sous-univers » qui s’articulent et s’imbriquent l’un dans l’autre, un peu à la manière de poupées russes : l’univers matériel (le nôtre), l’anti-univers (le double de notre univers), lui-aussi tridimensionnel mais formé d’antimatière, et l’univers spirituel, lui-même hiérarchisé en différents sous-plans selon leur tonalité vibratoire, depuis ce que les Chrétiens nomment « l’enfer », et qui correspond aux fréquences les plus basses, jusqu’au paradis ou Devachan, que certains ont nommé « septième Ciel », et qui correspond aux fréquences les plus rapides, à la bande passante la plus élevée du registre hyperfréquentiel.

Notre science demeure encore exclusivement axée sur les phénomènes matériels. Pour elle, il n'existe qu'un univers visible et mesurable. Mais c'est une erreur ! Car, conjointement à l'univers visible, existe un univers opposé et invisible, c'est-à-dire un anti-pôle. Cet anti-univers ressemble, au niveau de sa structure et de sa composition, à l'univers matériel, les formes de vie y étant presque identiques. Certaines anti-planètes abritent également des humanités. Les êtres qui les habitent sont capables de nous apercevoir et nous étudier ; ils utilisent pour cela des appareils extraordinairement complexes.


Édition originale du texte latin de la Table d’Émeraude (Nuremberg - 1541).

Contrairement aux interprétations habituellement présentées par la plupart des alchimistes et des kabbalistes, « Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. » pourrait en réalité signifier : « Tout ce qui est dans le monde est comme ce qui est dans l’anti-monde, et tout ce qui est composé d’antimatière est comme ce qui est composé de matière. » Les lois qui gouvernent la matière sont les mêmes que celles qui régissent l’antimatière. La « Force Telesma », qui est selon Hermès « la Force forte de toutes les forces », réside dans la trame électrogravitationnelle qui sous-tend les deux univers. Elle permet « d’accomplir des miracles d’une seule Chose », c’est-à-dire d’utiliser de manière optimale (miraculeuse en apparence) les énergies qui appartiennent à un Univers unique mais circulent entre son pôle matériel et son pôle antimatériel ; ce qui est la clé de la technologie utilisée par les extraterrestres.



L’anti-univers ne doit pas être confondu avec le royaume spirituel, immensité infinie du Créateur, dont fait partie la station intermédiaire entre nos incarnations matérielles successives. Pour ceux qui quittent notre plan d’existence au terme de leur incarnation terrestre, le monde spirituel prend en effet la forme d’une sorte d’espace juridique où se distribuent les récompenses, les compensations et les pénitences. Ce royaume comporte une région plus dense vibratoirement, où les conditions de vie sont plus difficiles et où les bourreaux, les pervers, les dictateurs, les criminels et les suicidés se retrouvent sur les bancs d’une sorte d’école intemporelle de morale et de justice, avant de revenir sur Terre essayer de réparer leurs erreurs.

Le royaume spirituel est distinct et séparé du monde matériel, alors que ce dernier forme avec l’anti-univers un tout indissociable, mais polarisé. Entre ces deux grands pôles de la Création que sont l’univers et l’anti-univers, il existe des relations d'alternance qui font que l’un ne peut se manifester à notre perception que si l’autre s’en éloigne. Ce sont deux forces opposées, que l’on peut qualifier de positives et négatives, émissives et réceptives ou électriques et magnétiques, et par lesquelles transite une énergie considérable. Ces énergies polarisées créent ce que nos scientifiques appellent la gravitation. En réalité, les distances entre les astres ne sont pas déterminées par leur propre gravitation mais par les flux énergétiques qui circulent entre les mondes matériels et anti-matériels. L'existence de l'antimatière a d’ailleurs été prouvée depuis plus de cinquante années à travers certaines expériences scientifiques, notamment les travaux de Max Planck.

Les chercheurs de la NASA (qui - soit dit en passant - ont depuis longtemps accumulé des preuves d’incursions extraterrestres dans notre système planétaire, et même à l’intérieur de la Terre, malgré la désinformation que nous continuons de subir à ce sujet) supposent que nos visiteurs d’outre-espace se déplacent grâce à une technologie permettant l’exploitation des champs électromagnétiques de notre univers. C'est une erreur. Ils utilisent en réalité les champs de tension générés par les différentiels de gravitation entre l’univers et l’anti-univers. Ils n'ont d’ailleurs besoin d’aucun carburant ni d’aucun combustible, car ils ne font qu'exploiter avec intelligence les polarisations des deux univers. Ils ont mis au point des appareils leur permettant d'inverser la polarité du vaisseau où ils se trouvent, de la commuter du monde à l’anti-monde ou vice-versa et d’utiliser ainsi les trames électrogravitationnelles qui sous-tendent et équilibrent ces deux univers.

Au moment où s'effectue ce changement de polarité, le vaisseau et tout ce qu'il contient disparaissent de la vie matérielle. Aucun appareil radar ne peut plus alors les enregistrer. L'astronef est brutalement repoussé par la matière, et il peut alors atteindre une allure inimaginable. La force d'attraction de la pesanteur étant transmutée en une force contraire surmultipliée et tendant vers l’infini, la vitesse qui en résulte peut facilement devenir largement supérieure à celle de la lumière.

Tout est avant tout une question de réglage et d'orientation. Pour parvenir à un degré de précision infinitésimal, les vaisseaux de la Confédération Intergalactique utilisent des corpuscules de lumière plus petits que les photons. Ceci peut paraître impensable. Pourtant, l’avance technologique que les Lyriens, les Centauriens et les Arcturiens possèdent sur les Terriens ne dépasse pas quelques milliers d'années terrestres. Mais notre retard est en train de s’accroître, car non seulement nous sommes actuellement engagés dans une impasse scientifique, mais nous empêchons toute intervention de leur part pour nous venir en aide, à cause de l’attitude agressive de nos dirigeants à leur égard.

Les appareils que nous appelons ovnis ont souvent la forme d'une soucoupe circulaire qui produit l’impression d’un renflement en son centre. Il s’agit en réalité de sphères intégrées à un disque circulaire dont les surfaces supérieures et inférieures sont polarisées. Dans la partie inférieure du disque se crée l'antigravitation, laquelle n'est qu'un changement de polarité vers celle de l'anti-monde. La force de ce changement est réglable. Lorsque le vaisseau quitte le plan physique, l'engin se transforme pour nos yeux en une traînée lumineuse, puis disparaît totalement de la vue matérielle. Il en va de même lors de l'opération inverse.

Les plus grands vaisseaux sont de type « cigare ». Leur système de propulsion est entièrement électromagnétique. Ils se déplacent en percée hélicoïdale par hyperconductivité électromagnétique à travers la trame électrogravitationnelle de l’univers et de l’anti-univers. Ils sont en général équipés d’une double coque, conformément aux schémas ci-après :


Cigare volant : schéma en coupe longitudinale (ci-dessus) et transversale (ci-dessous).


Les deux coques sont d’ailleurs en réalité des doubles-coques « gigognes » : l’une hyperconductrice et l’autre (transparente) qui sert d’isolant électrique et magnétique.

Lorsqu’un vaisseau ou une soucoupe présente l’apparence d’une immobilité totale dans l’espace, il se trouve en réalité en état de sustentation agravitationnelle, ce qui correspond à l’état semi-éthérique dans lequel se trouve maintenue la double-coque conductrice, le niveau vibratoire physique y étant altéré par rapport aux constituants physiques de l’espace extérieur à l’aide d’un dispositif de désolidarisation électrogravitationnelle.

Tout changement de polarisation d’un vaisseau se traduit par un passage de la matière à l'antimatière ou vice-versa. Ces deux matières ne peuvent aller de pair, elles se repoussent. Lorsqu'un vaisseau effectue un changement de polarisation et commute vers l'antimatière, cela entraîne le déclenchement d'une force magnétique considérable. Si l'appareil se trouve en orbite géostationnaire au-dessus de la Terre, il est alors repoussé à une vitesse extraordinaire et cette force le propulse vers l'hyperespace.

Les voyages interstellaires ne sont effectués que par les plus grands vaisseaux-mères. Il est difficile pour nous de concevoir leur taille, car certains ont plusieurs kilomètres d’envergure. Ces vaisseaux-mères renferment un certain nombre de modules de liaison, des sortes de navettes qui servent au trafic intrastellaire et retournent obligatoirement vers le vaisseau-mère dont elles dépendent, une fois leur mission accomplie. Pour effectuer ces manœuvres d'entrée et de sortie du vaisseau-mère, une alimentation indépendante est utilisée, qui ne demande que peu d’énergie. Les champs magnétiques de la trame électrogravitationnelle sont utilisés pour les autres déplacements, grâce au dispositif qui vient d’être évoqué. Les vaisseaux nécessitent cependant une énergie supplémentaire pour leurs agrégateurs de direction, surtout à proximité des planètes. Cette énergie peut être qualifiée de « micro-luminique ».

Tout astronef a la capacité de se mouvoir de la même façon qu'un bateau est poussé par le vent, sans qu'il n’ait besoin d’une énergie propre. Et des millions de vaisseaux voguent ainsi à travers le Cosmos à l'aide de l’inépuisable énergie qu’il renferme.

Les inversions de polarité sont généralement déclenchées par simple impulsion télépathique de l’un des membres de l’équipage. Un léger stimulus de la volonté suffit à provoquer une telle inversion, car le poste de commande des vaisseaux est équipé de capteurs électromagnétiques intelligents ; et une amorce d’inversion suffit elle-même à la mise en mouvement du vaisseau. Plus la charge électromagnétique induite par l’impulsion télépathique est puissante, plus l’accélération est importante et plus le vaisseau se soustrait rapidement à toute possibilité d’observation terrestre.

Lorsqu'un vaisseau se retrouve emprisonné dans le champ gravitationnel d’un système planétaire, il suffit en général pour l’en extraire de déclencher télépathiquement un changement de polarité.

Les informations que je viens de présenter risquent une fois de plus de passer pour de la science-fiction. Pourtant, l'existence de l'antimatière a déjà été prouvée scientifiquement depuis des décennies. Des centaines de conférences ont déjà été proposées sur ce sujet. Et ces informations, transmises par un contacté, n’en apportent qu’une illustration de plus.

Ne nous arrive-t-il pas parfois de contempler dans le ciel avec émerveillement des étoiles qui pourtant n’existent plus ? L’antimatière au contraire nous semble ne pas exister, et pourtant elle est une réalité. C’est une chose absolument naturelle, indissociable de la matière que nous connaissons, parce que tout est bipolarisé. La loi de la relativité permet d’expliquer cette apparente contradiction : quand l'un des deux univers existe pour une personne, l'autre n’existe apparemment pas pour elle, et vice-versa. Cependant, les deux existent, ni l’un ni l’autre ne sont une illusion. Ces deux univers forment deux pôles électromagnétiques immenses. La Flotte Intergalactique commandée par le Seigneur Ashtar utilise cette trame pour venir nous visiter et préparer l’Âge d’Or de notre planète et de notre humanité.

Olivier de Rouvroy – février 2003



Ashtar Sheran, Commandeur de la Flotte Intergalactique




Voir également :

Les technologies supra-luminiques

Révélations sur les extraterrestres

Kwan Yin et les peuples des étoiles

L'étonnant témoignage du Dr Steven Greer

Les différentes sortes d'OVNIS

Le témoignage de Pierre Monnet

Y a-t-il actuellement des passages massifs d'OVNI au-dessus de la Terre ?

Les OVNI en provenance de la Terre Creuse

Le site DISCLOSURE FRANCE consacré au Projet ''Révélation''


 
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