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Souvenirs de jadis
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« Un appel, provenant de constellations lointaines, incite aujourd’hui les êtres humains à devenir Un avec leur héritage cosmique légitime. » Trigueirinho
Présentation de José Trigueirinho. Il a créé un centre spirituel au Brésil, qui fonctionne en harmonie avec les Lois cosmiques et où ceux qui s'engagent sur la voie de l'évolution peuvent se préparer spirituellement en vue du changement planétaire. Anne Givaudan a dit à son sujet : « Grâce à lui, la communication entre les mondes, qu'ils soient terrestres, intraterrestres ou extraterrestres, ne sera bientôt plus une légende. » NOTA : Selon Trigueirinho, il existerait plusieurs centres intraterrestres majeurs qui travaillent à la refonte des énergies à la surface pour le bien des hommes et de la planète. Il s'agirait, entre autres, d'Aurora, Erks, Miz Tli Tlan , Mirna Jad, Lis Fatima, Anu Tea, et Iberah. Trigueirinho a transmis de nombreuses informations sur la connaissance de soi, la prière, la transformation spirituelle, la guérison, les moyens de collaborer avec les hiérarchies spirituelles célestes et les centres énergétiques intraterrestres qui soutiennent l'humanité dans son processus d'évolution de conscience. Entouré de plus de 120 collaborateurs permanents, il accueille chaque année dans son centre de Nazaré, situé à Figueira au milieu de florissantes plantations toutes cultivées de manière biologique, des milliers de visiteurs venant du monde entier. (Cf. annexe) Le texte qui suit est un extrait de son denier livre "Miz Tli Tlan - un monde qui s’éveille". Ce document nous a semblé particulièrement important, dans la mesure où il projette une nouvelle lumière sur les origines de la terrible menace nucléaire qui pèse aujourd’hui sur notre humanité (Cf. notre page Faut-il redouter l’Apocalypse nucléaire ?). L’histoire a tendance à se répéter, aussi longtemps que la leçon n’est pas apprise. Mais grâce à l’aide et à l’expérience de nos frères intraterrestres, l’holocauste planétaire peut peut-être encore être évité. Voici le témoignage de l’un d’entre eux, reçu par Trigueirinho. (Message à notre monde.) « Vous devez savoir qu’il existe trois types de mondes, et bien que l’intégration de leurs civilisations ait été toujours désirée, leurs habitants n’ont jamais été en relation les uns avec les autres. Ces mondes sont : le monde extraterrestre du Cosmos, le monde intraterrestre de la Terre Creuse, et le monde de la surface de la Terre. Ce dernier avance rapidement vers la destruction, que ne purent éviter nos ancêtres, et qui une fois déjà, transforma la planète Terre en une gigantesque tombe remplie de cadavres, de ruines et de désolation. Cela se produisit en une époque très lointaine, hors de vos possibilités de calcul. En ce temps-là, les hommes furent témoins de ces faits mais ne purent rien faire. Chaque civilisation atteint un point maximum de développement puis disparaît, immédiatement ou graduellement. Elle se consume comme les étoiles. La vie universelle est un éternel jeu mathématique composé de cycles ayant certains aspects annihilants. Notre développement technologique avait atteint un niveau impressionnant de perfection. Même à très grande distance, nous pouvions, de façon maîtrisée, briser la matière en unités d’énergie et la recomposer. Les effets des résidus radioactifs étaient contrôlés. Cette pratique donna lieu à la création d’usines ou stations de désintégration, dans lesquelles les machines pouvaient transformer une forme physique en énergie et projeter cette énergie vers n’importe quelle ville de la Terre où une autre machine pouvait lui rendre sa forme initiale. Puis, il devint courant que chaque personne ait sa propre machine. Il n’y avait pratiquement pas de secrets pour nous. Grâce à nos connaissances scientifiques, nous pouvions faire presque tout ce que nous voulions, y compris prolonger la vie indéfiniment. Ceci était possible grâce à l’usage du procédé d’hibernation permis par notre système social. Il consistait à suspendre les activités vitales pendant des années, puis à réactiver la vie à l'aide d'une simple pilule. La classe gouvernante réussit à gérer les inconvénients de la multiplication d’êtres vivants en contrôlant la croissance excessive de la population et les contaminations qui l’accompagnent. (...) Pourtant, de graves problèmes commencèrent à apparaître, à cause du manque d’évolution de la conscience par rapport à l’incessante avancée technologique. (...) Nous avions commis une erreur. Sans nous en apercevoir, nous avions bâti notre société de la surface sur une aberration : les moteurs de notre puissante technologie étaient exclusivement alimentés par l'énergie nucléaire. Nous connaissions d'autres formes de production d'énergie propre, mais nous étions satisfaits du degré de sécurité obtenu avec la maîtrise de la scission de l'atome. Bien sûr, au début il fallut gérer les résidus radioactifs. Nous les placions dans des capsules spéciales enterrées dans le sol. Ensuite, nous sommes arrivés à transformer ces résidus pour finalement obtenir ce que nous appelions « une chaîne de consommation sans perte ». On pourrait comparer cela à un moteur d'aujourd'hui utilisant de l'essence, et qui pourrait continuellement recueillir et réutiliser la totalité des gaz générés par sa propre combustion. Nous pensions avoir tout réussi, quand l’un de nos mathématiciens nous avertit un beau jour (que vous mesureriez en centaines d'années), que les lignes spectro-magnétiques de l'énergie recyclée n'obéissaient plus aux lois rigides auxquelles elles avaient obéi jusqu'alors, et cela de façon inattendue. En d'autres termes, elles se rebellaient. Sinon, qu’aurait signifié cette soudaine incohérence ? Quand nous l'avons constaté, c'était déjà trop tard. Notre science avait terminé son cycle, et tous, nous nous sommes souvenus des mots de sagesse de notre dernier philosophe : « La mort existe encore ». La teneur radioactive de l'atmosphère commença à augmenter à pas de géant, provoquant des trous noirs dans les couches d'ozone qui entouraient la Terre. La machinerie complexe qui soutenait la structure de notre civilisation devint rapidement inutile. Vous devez réaliser que nous avions construit de véritables monstres cybernétiques, capables d'opérer par eux-mêmes les réparations sur les parties endommagées de la machine, quelle que fût la nature de la panne. Il fut ainsi possible de réguler l'augmentation de l'indice de radiation. Mais cela ne servit à rien, car nous ne nous étions pas préoccupés d'obtenir une immunité contre ces radiations auxquelles nous devions tout notre fonctionnement, de la même façon que vous ne cherchez pas à vous immuniser, aujourd'hui, contre l'eau de vos rivières, car vous n’imaginez pas un instant qu'elle puisse demain se transformer en un poison mortel. Soudainement, nous avons compris que nous étions seuls et sans défense. Nous n'avions fait aucun progrès en tant que race ; au contraire, nous étions restés à un niveau élémentaire. Sans en être conscients, nous avions contribué à l'émergence, à l’apogée et au déclin d'une super-technologie. La technotronique nous avait dominés. Nous avons dû fuir les villes. Heureusement, nous savions où aller et nous avons fait en sorte que l'exode se déroule strictement selon les directives de nos dirigeants. Ces derniers avaient déjà dû adopter des mesures extrêmes pour éviter une explosion démographique. Ils avaient ordonné que les nouvelles villes soient construites en quatre cercles concentriques répartis sur toute la surface de la planète, et centrés sur un point de l'équateur actuel. L’une des choses que vous devez savoir est que la topographie de la planète était alors très différente. À cette époque, la plate-forme continentale formait une large bande couvrant l'espace entre les tropiques au nord et au sud. Dans la zone où se situent aujourd'hui les pôles, il y avait des courants marins jaillissants, c'est-à-dire des lignes naturelles de communication disposées comme un réseau géométrique sous les mers. À travers ces voies, les eaux montaient de l'intérieur de la planète jusqu'à la surface, puis retournaient à l'intérieur. De nos jours, ce réseau est complètement fragmenté. Les eaux remontent depuis le monde intraterrestre et y retournent à travers quatre ouvertures seulement. Selon votre cartographie, ces endroits sont situés dans le triangle Tokyo - Shangaï - Vladivostok dans la mer du Japon ; le triangle Sydney - Melbourne - Nouvelle Zélande dans la mer de Tasmanie ; le triangle Malvines - Rio Gallegos - Viedma dans la mer argentine, et enfin le triangle Bermudes - San Juan de Puerto Rico - Bahamas dans l'océan Atlantique. L'évacuation de la population se déroula par étapes. Ceux qui vivaient dans les anneaux intérieurs furent les premiers à être déplacés vers les anneaux périphériques, afin de ne pas leur faire courir le risque d’avoir à traverser une zone contaminée. Pendant ce temps, des efforts désespérés se poursuivaient pour trouver une solution. Nous ne savions cependant que faire car nous devions désormais nous fonder uniquement sur nos propres connaissances, sans l'aide des cerveaux artificiels. Ces cerveaux technologiques étaient si sophistiqués qu’ils arrivèrent à nous réconforter quand notre système psychique commença à souffrir de la situation devenue critique. Nous étions habitués à utiliser de la matière recyclable comme source d'énergie et, finalement, nous avons dû faire face à une réalité inattendue. Nous n'avions plus les moyens d'utiliser les formes naturelles et primitives d'énergie Quelle eût été en effet l'utilité de revenir à ces sources primitives, puisque nous n'avions plus les dispositifs adéquats fonctionnant avec ce type de combustible ? Vous pouvez comprendre cela en imaginant que l'on vous dise aujourd'hui de revenir à l'utilisation des bateaux à vapeur. Vous pourriez produire de la vapeur mais... où trouver les bateaux ? Ce fut alors qu'éclata la crise. Cette société en apparence parfaite, super-développée, n'était en réalité rien d'autre qu'un parasite installé sur un gigantesque animal technologique. Si ce dernier mourait, qu'allait-il en rester ? Même nos capacités à donner des ordres étaient altérées. Car il était devenu difficile de penser par nous-mêmes ! La décadence survint rapidement. Beaucoup choisirent de rester dans les villes, défiant le niveau croissant de radiation. Très vite, leurs organismes furent altérés. Ils souffrirent de déformation osseuse, devinrent aveugles suite à des cataractes du cristallin, et finirent par mourir faute de coordination motrice suffisante. Certains s'enfuirent dans la jungle, dont nous ne nous étions jamais approchés auparavant. Ils affrontèrent des animaux inconnus, car nos ceintures de population étaient protégées par des zones de désert absolu. Ils burent l'eau des ruisseaux, et beaucoup périrent car ils avaient perdu le code génétique permettant d'assimiler l'eau pure. D'autres moururent en s'alimentant. Nous avions perdu presque toute la capacité d'adaptation au milieu ambiant terrestre. Certains constituèrent de petits groupes pour tenter de survivre ensemble à ce qui les attendait. Des pilules maintenaient l'équilibre neutronique indispensable à leur organisme, et c'est seulement grâce à elles qu'ils purent s'assurer que l'eau et la nourriture ne se transforment pas en ennemies. Le périple fut très dur. Notre hyper-spécialisation nous avait rendus invalides. Toutefois, nous restions en vie, en dépit de l'avertissement du dernier philosophe : « La mort existe toujours ». L’une de nos perspectives de survie consistait à atteindre les sources marines dont la force était l'Ono-Zone, puis l'intérieur de la Terre Creuse, où nous avions l'espoir de ne pas subir les ravages de la contamination radioactive. Mais comment y parvenir ? Nota : Ono-Zone = mot du langage cosmique Irdin signifiant "état d’harmonie inaltérable". C’est l’énergie essentielle issue de l’activité de la Conscience universelle à travers le Cosmos. Nous errâmes dans la forêt... La vieillesse nous rattrapa et nous découvrîmes alors que notre existence pouvait rapidement devenir misérable. Dans le même temps, les radiations avaient atteint un niveau intolérable. Les survivants se pressaient vers le littoral océanique. D'énormes cataclysmes fragmentèrent la croûte terrestre en millions de morceaux, comme si une explosion gigantesque s'était abattue sur notre monde déjà dévasté. Toutefois, au milieu de cette conflagration, notre race continua à garder ses archétypes de fonctionnement. Évitant que les individus dégénérés ne puissent procréer, nous arrivâmes à sélectionner quatre couples reproducteurs en laboratoire. Et malgré ces conditions défavorables, nous réussîmes à obtenir, à partir de trois d'entre eux, des enfants parfaits. Élevés dans la jungle, sans la connaissance des avantages dont avaient bénéficié leurs ancêtres, ces petits inaugurèrent une nouvelle société. Comme nous, ils parlaient très peu. Depuis longtemps, nous avions abandonné le langage oral au profit des transmissions télépathiques, grâce à nos capteurs extra-cérébraux qui étaient gérés par le grand monstre technologique qui nous assistait. Après des années de cette assistance, il nous était très difficile de recommencer à parler, et certains n'y parvinrent jamais. L’un des groupes coordinateurs assuma la tâche de relater ce qui était arrivé à ceux de la surface, dans le but de transmettre leur histoire aux nouveaux humains qui avaient déjà des enfants et amorçaient ainsi une nouvelle chaîne biologique à partir de la mutation du code génétique. Ceci est l'histoire de la race de ceux qui vivent actuellement dans les profondeurs de la Terre, la race de ceux qui ont eu à endurer les pires tribulations, avant de renaître des cendres de leur civilisation. Elle pourrait servir de référence aux humains d'aujourd'hui, si ceux-ci souhaitent tirer parti de cette expérience vécue. Au moment même où le monde de la surface s'écroulait sous le coup d'innombrables cataclysmes, notre civilisation commença à se régénérer, lentement mais sûrement. La Nouvelle Terre au centre de la planète nous offrait ses ressources, de la même façon que l'avait fait l'ancienne, mais avec une différence fondamentale : nous pouvions recommencer à zéro en l'absence de contamination. C'était notre « deuxième chance », celle dont avaient parlé nos philosophes par le passé. Ce fut alors que nous réalisâmes combien ces philosophes étaient importants. Ils en savaient beaucoup plus que n'importe quelle super-machine, et nous nous étions moqués d'eux ! (…) La Nouvelle Terre, au centre de l’ancienne, nous offrit ses ressources. Nous fîmes bon usage de cette deuxième chance en suivant fidèlement les principes hérités de nos ancêtres. Progressivement, avec l'avancée de notre science, le précepte selon lequel « l'énergie atomique est source de mort et ne doit jamais être utilisée. » commença à reprendre un sens pour nous. La redécouverte de l'atome dévoila le sens de ce commandement, qui nous incita à ne pas poursuivre ces recherches. Cette fois, nous choisîmes de nous intéresser à la force magnétique, mais nous découvrîmes alors que les champs magnétiques d'une certaine intensité peuvent provoquer des altérations physiques sur les objets comme sur les personnes. Alors nous abandonnâmes également ce système pour en essayer d'autres, jusqu'à ce que nous choisissions l'énergie obtenue à partir de la captation de photons, l’Ono-Zone provenant des étoiles. Cette énergie nous parvient à partir de canaux ou trous inter-magnétiques. Sa connaissance et sa maîtrise nous ont permis de pénétrer des zones encore plus profondes de la planète, que nous avions toujours considérées comme obscures. Ainsi, nous avons pu construire de nouvelles villes et suspendre les restrictions établies sur le contrôle des naissances. Et notre race a continué de croître... Certains parmi nous, encouragés par nos philosophes, sont partis à la recherche de la Terre originelle, berceau de notre race. Ils se sont dirigés vers les courants marins, ont traversé des terres gelées inconnues de nos ancêtres, conséquence du désastre écologique qu'ils avaient provoqué. Ils ont atteint le continent après avoir franchi de vastes étendues d'eau. Selon votre cartographie, ils sont passés par la terre Victoria, puis ont traversé la mer jusqu'à la Nouvelle-Zélande, et l'Australie. Ils ont franchi la Mélanésie pour arriver au Japon et sur la côte chinoise, entre Canton et Tien-Tsin. De tous ceux qui s'en sont allés, peu sont revenus. Ils étaient émerveillés par la luminosité des journées, par le ciel bleu, la brise marine et la prodigalité de la végétation qui offrait ses fruits sans obligation de les cultiver ; ils l'étaient également par la quantité d'animaux sauvages. Nos gouvernants décidèrent alors d'étudier le cycle géophysique de la surface extérieure, avec l'intention de vérifier sa qualité de vie. Les résultats furent magnifiques. Il s'avéra qu'aucun signe de l'éruption radioactive qui avait affecté nos ancêtres n'avait été enregistré depuis des milliers d'années. La nature, lentement mais inexorablement, avait éliminé tous les vestiges de contamination. Ils furent alors des milliers à décider de quitter l'intérieur de la Terre. Comme cela s'était passé auparavant dans notre histoire, les dirigeants durent une fois de plus prendre une décision capitale. Ils interdirent à ceux qui n’étaient pas encore partis de quitter notre monde, redoutant de voir notre humanité revenir au point de dégénérescence que nous avions atteint lorsque nous vivions à la surface. Ils établirent une limite de temps pour le retour de ceux qui étaient déjà partis. Après cette période, ils ne seraient plus admis à nouveau au sein de la communauté, car ils auraient inévitablement acquis une nouvelle identité génétique. L'unité de la race intraterrestre fut ainsi préservée. Ceux qui ne revinrent pas constituèrent les fondations de ce qui devint la race jaune basée en Chine, au Japon, sur la côte orientale de Mexico et dans l'extrême sud argentin. Avant cela, la Chine était peuplée d'hommes blancs et d'hommes noirs. La race jaune que nous connaissons aujourd'hui est d'origine intraterrestre. Les échappées du monde souterrain se faisaient à partir de conduits naturels sous les mers, reliant le monde de la surface, le tout restant sous contrôle. Les échappées du monde souterrain se faisaient à partir de conduits naturels sous les mers. Nos premiers contacts avec l'extérieur révélèrent des faits intéressants, en plus de l'absence de radiations nocives. Nous apprîmes que l'espèce humaine n'avait pas disparu totalement de la surface de la Terre, mais que, à partir des mutations subies au cours du temps, les humains y vivaient dans une dimension légèrement différente de la nôtre et qu’ils avaient subi des changements radicaux dans leur aspect physique. En effet, nous n'avions pas rencontré de représentants de notre race d'origine, uniquement des Blancs et des Noirs vivant à l'état quasi animal avec un très faible degré d'intelligence. Nous avons pu vérifier également que la source permanente d'eau destinée aux anneaux intérieurs était restée intacte. Nous faisons allusion à ce que vous appelez le lac Baïkal, en Sibérie. Aux alentours, nous avons trouvé quelques colonies d'animaux, présentant pratiquement les mêmes caractéristiques que celles attribuées par la tradition aux animaux vivant du temps de nos ancêtres à la surface. À présent que la lente évolution a doté d'une bonne intelligence les êtres humains de la surface de la Terre, ceux-ci se précipitent dans ce même piège qui avait abouti à la destruction de la race primordiale. Le premier pas dans cette direction néfaste a été la fabrication de la bombe atomique. Cet objet dont le danger est énorme, sert à établir des gouvernements de terreur, conduisant inexorablement le monde vers un désastre total. Ce désastre pourrait nous toucher aussi car il est impossible de savoir quel sommet pourrait atteindre un conflit impliquant l'arme nucléaire. Nous n'allons pas permettre que ceci se produise. C'est pourquoi nous avertissons de ce danger le monde de la surface, à travers ses pays les plus représentatifs. Nous voulons que se constitue un comité international contre l'utilisation de l'arme nucléaire. En échange, nous sommes disposés à révéler le secret de l'énergie magnétique. » Reçu par José Trigueirinho
Extrait de "Miz Tli Tlan - un monde qui s’éveille" Ed. Vesica Piscis (2006) « Afin de ne pas nous désintégrer pendant la transition, nous devons utiliser une arme bien différente de l'arme nucléaire terrestre. Cette arme, c'est lâcher toute expectative ou attachement et s'ouvrir complètement et inconditionnellement à l'énergie transformatrice. Nous devons cultiver le don de soi et, en outre, dire : "Seigneur, faites de moi ce qui est décidé; peu importe ce qui m'arrive, faites-le". Alors que tout le monde s'arme en vue de se défendre, l'arme de ceux qui sont incarnés et conscients de ce qui se passe ne peut pas être comprise par les autres. Notre arme est de nous ouvrir et de nous laisser aller fermement et directement, sans vaciller comme le fait généralement l'individu au bord d'une crise. Une certaine hésitation, ou oscillation nous permet de nous apercevoir que nous ne nous offrons pas totalement au Divin. L'unique manière, pour l'énergie supérieure, d'arriver à descendre et pénétrer totalement dans les niveaux tridimensionnels est que nous adoptions une attitude d'offrande et d'ouverture. Il n'en existe pas d'autre, car notre éducation "anti-cosmique" nous a conditionnés à la lutte pour la vie, à la concurrence, à la compétition - toujours être meilleur que l'autre - et à posséder toujours davantage, alors que le problème n'est pas d'avoir; le problème est de lâcher prise ! Notre éducation est à l'opposé de la réelle évolution de l'être. Ce n'est que maintenant que cela peut être dit. Plus tôt, cela aurait semblé une folie : même les gens lucides nourrissaient encore l'espoir de sauver le monde dans sa forme actuelle. Nous en arrivons maintenant au stade où même les plus matérialistes et les plus incrédules admettent qu'il n'existe plus de solution "terrestre" aux problèmes auxquels nous sommes confrontés. Il est important de dire ces choses, car l'énergie que nous recevons a beaucoup augmenté et continuera à augmenter chaque jour. » Extrait de : "Le côté immatériel de la Vie"
(Conférence donnée par Trigueirinho à Figueira en octobre 1989) À Figueira, des maisonnettes nichées dans une végétation luxuriante permettent à ceux qui en ont besoin de faire des retraites spirituelles. Des jardins potagers, des vergers et des plantations biologiques variées sont disséminés dans des paysages vallonnés et paisibles. Une forêt d'eucalyptus abrite un sanctuaire où, depuis des années, une veille silencieuse est poursuivie sans interruption. Toutes les deux heures, jour et nuit, l’un des résidents vient méditer en ce lieu, où l'on sent une énergie spirituelle intense qui ouvre la conscience à la présence des hiérarchies célestes. Des maisonnettes nichées dans une végétation luxuriante permettent à ceux qui en ont besoin de faire des retraites spirituelles. De nombreuses activités sociales sont offertes aux habitants de la région : dispensaire et repas gratuits, partage des récoltes, dons de semences, soutien à l'hôpital local, etc. L'une des particularités de Figueira est une totale liberté par rapport à l'argent. L'accès n'est interdit à personne pour des raisons financières puisque aucun paiement n'est jamais exigé. Tout est offert gratuitement. Il y a simplement des troncs placés un peu partout qui invitent à faire des donations pour soutenir le centre. Et, après plus de vingt ans de fonctionnement, les résultats sont impressionnants : des dizaines de bâtiments, d'immenses jardins potagers, des dizaines d'hectares de cultures biologiques, des dispensaires et des lieux de thérapie, un refuge pour animaux, des lieux de méditation et de prière, une grande salle de conférences et de concerts qui peut abriter plus de mille personnes, etc. Il y a des vérités dons le destin est de ressembler à des utopies. Elles sont comme des étoiles lointaines, dont l'éclat passe inaperçu de la majorité des gens. Il y a pourtant ceux qui scrutent le firmament et confient à la lumière de ces étoiles leur aspiration à un monde meilleur. Et il y a aussi ceux qui, osant transcender des modèles établis, invoquent ces lumières et trouvent à l'intérieur d’eux-mêmes la force de faire de l'utopie une réalité. Il existe une Figueira qui est constituée de terres, de plantations, de bois, de lacs, de ruisseaux, de chemins, de maisons et d’ateliers de travail. Et il en existe une autre, invisible aux sens, mais qui se révèle au cœur. La première se localise au Brésil, dans le sud de l’état du Minas Gerais. Elle est visitée par beaucoup de personnes, qui y viennent pour des raisons diverses, mais qui, toutes, ont une motivation commune, pas toujours consciente: la rencontre avec l'essence intérieure de leur propre être. Dans cette Figueira, la vie est simple, ordonnée, et l'on cherche à obéir à la loi de la nécessité. Il y a des horaires établis pour les travaux manuels, les études et les repas, avec des intervalles suffisants pour le recueillement et le sommeil. On y cultive le silence et l'accord avec le monde intérieur ; on s'y occupe des personnes nécessiteuses de la région. L'autre Figueira se situe dans l'espace de la conscience. Elle est, donc, intemporelle et ne peut pas être décrite. Malgré cela, elle est perceptible et l'on peut entrer en contact avec elle dans le silence de l'être. Symboliquement, nous pouvons dire que ces deux Figueiras constituent un seul arbre, qu'elles sont deux composantes d'une seule réalité. La Figueira visible est formée du tronc, des branches et des feuilles. L'autre, l'invisible, formée des racines, est en contact avec les dimensions internes de la planète. La Figueira invisible est en contact avec les dimensions internes de la planète. Figueira est une utopie qui, à chaque instant, devient réalité. Être à Figueira est un processus vivant, transformateur, surtout si nous sommes en accord avec ce qui est occulté, avec les racines. Le travail à Figueira ne vise pas au commerce et n'est pas taxé. Ses fruits sont offerts à la Vie Unique, au bénéfice du bien commun. À Figueira, on ne fait ni politique, ni syncrétisme, pas plus que de différence entre les religions formelles. La vie à Figueira est imprégnée d'une profonde religiosité, qu'expérimentent ceux qui cherchent, avec simplicité, la vérité intérieure. Figueira porte en sa sève la lumière des étoiles lointaines. Ceux qui y résident joignent leurs efforts à ceux qui y sont de passage: ensemble, tous cherchent à faire de la Figueira visible la plus fidèle expression possible de sa contrepartie invisible. Tâche difficile, puisque la première présente les limites du monde tangible, tandis que l'autre pénètre des sphères plus vastes, étant un miroir de l'espace sidéral. En tant que centre de service, Figueira cherche à jeter les semences d'une vie en harmonie avec des lois universelles, qui régissent des civilisations évoluées de l'intérieur de la Terre et de l'espace infini. Exister de cette manière est, en soi, un défi, niais un défi assumé par amour. C'est ainsi que nous appelons les vents de la transformation. Oui, que volent les semences de cette nouvelle vie, que partout puisse être préparé le sol qui, un jour, les accueillera ! Ce sol est la conscience. C'est ici que le visible et l'invisible se fondent ; c’est dans l'éveil de cette conscience que l'utopie devient réalité. Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter le secrétariat général de Figueira à l’adresse suivante : Caixa postal 29 Carmo de Cachoeira/MG – Brésil – 37225-000 Tél. (5535)225-1293 Les données présentées sur la civilisation intraterrestre de MIZ TLI TLAN nous ont été fournies par un membre du Conseil Alpha et Omega. L'important n'est pas de comprendre exactement avec notre intellect ce qu'est le nouveau code génétique, la langue Irdin, une Hiérarchie, un Miroir, un Logos, ou le rôle exact d'Amuna Kur, le Seigneur du Monde. Si ces concepts sont nouveaux pour nous, laissons-nous le temps de nous y habituer... L'important est la compréhension profonde que nous sommes bien plus que des corps physique, émotionnel et mental. Nous sommes une âme en quête de fusion avec son Esprit, et la mort n'existe pas. Sur notre planète en phase de transition, le message de Trigueirinho est un message d'espoir et de joie, et son enseignement nous amène tout naturellement à agir autour de nous, dans le service et l'Amour. Après "Un appel à l'humanité", compilation issue de ses œuvres, voici un ouvrage majeur de José Trigueirinho pour comprendre en profondeur les temps actuels. - Où sont situés les noyaux planétaires subtils ? - Comment l'énergie féminine déclenche la guérison ? - Le rôle des centres intraterrestres - Le développement de nouveaux vortex énergétiques chez l'être humain - La collaboration des différentes races cosmiques pour le futur de l'humanité - En quoi consiste le nouveau code génétique ? Préface de Anne Givaudan Vous pouvez commander les livres de Tigueirinho Voir également sur notre site : |
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