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 La Science des Extraterrestres

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Le très controversé Éric Julien apporte des explications inédites, mais plausibles et cohérentes à différents concepts et applications ufologiques.
 







« La Science sans la Spiritualité est aveugle, et la Spiritualité sans la Science est boiteuse. »
Albert Einstein


S’il est un personnage controversé dans le monde de l’ufologie, il s’agit bien d’Éric Julien. Après avoir acquis une certaine notoriété grâce à ses travaux sur le temps 3D, puis diffusé sur le net en septembre 2003, sous le pseudonyme de Jean Ederman, le message intitulé « Changeons le monde par effet de levier ! » (que l’on peut consulter ICI), il s’était « mystérieusement volatilisé » avant de revenir avec un nouveau livre, non encore édité à ce jour, intitulé « La Science des Extraterrestres ».

Même s’il s’est montré discret au cours des derniers mois, Éric Julien continue aujourd’hui à alimenter de nombreuses polémiques : certains voient en lui un contacté, d’autres un affabulateur ; il est parfois présenté comme un visionnaire, un chercheur de génie, incontournable spécialiste des systèmes de propulsion extraterrestres, alors que d’autres font de lui tantôt un simple compilateur, tantôt une sorte de faussaire mégalomane, n’hésitant pas à s’approprier des découvertes scientifiques qui ne lui appartiennent pas en réalité, dans le seul but de nourrir son insatiable ambition.

Certains de ses plus virulents détracteurs ont cependant fini par admettre qu’ils s’étaient trompé, qu’Éric Julien est peut-être bien finalement celui qu’il prétend être : un relais humain des extraterrestres et de leur prodigieuse technologie.

Le texte qui suit présente un double intérêt : d’une part, il a été rédigé par Pascuser, qui fut sans doute le plus farouche adversaire d’Éric Julien (on ne peut donc le suspecter de complaisance à son égard) ; d’autre part, il contient un admirable résumé de son livre « La Science des Extraterrestres ». Les scientifiques apprécieront ce document à sa juste mesure, mais il devrait également interpeller tous les novices en matière de physique quantique et d’astrophysique, à la seule condition qu’ils s’intéressent aux civilisations d’outre-espace et à la période de l’histoire de l’humanité qui succédera bientôt à la mondialisation, celle de l’universalisation.

Voici ce texte de Pascuser :




« Suite à l'intérêt que j'ai porté à la recherche de possibilités d'études et de "mises en équation" de la théorie du temps 3D vue par Éric Julien, il m'a proposé de m'envoyer une avant-version de son livre, « La Science des Extraterrestres », proposition que j'ai acceptée avec plaisir, afin de voir ce qu'il avait pu faire de consistant.

Tous ceux qui ont eu connaissance de ses travaux sur le temps 3D et des diverses polémiques qui s'en sont suivi savent à quoi je fais allusion lorsque j’évoque la question du différent qui existait entre Éric Julien et moi-même concernant ses propos sur le temps 3D. En effet, après recherches, je m'étais aperçu que des scientifiques russes (Kozyrev, Bartini, Veinik, Chernobrov) dont les noms avaient été cités sur différents forums, avaient déjà travaillé sur des théories du temps à densité variable, et avaient eu des idées de son application à des phénomènes paranormaux (télépathie). Ceci m'avait conduit à conclure que le travail d’Éric Julien sur le sujet était du simple rafistolage autour de travaux qui n'étaient pas de lui ; et je m'étais largement exprimé à ce sujet sur ONCT. Il s'en est ensuite défendu après plusieurs mois d'absence et évidemment il régnait une certaine tension entre nous.

Nous étions nombreux à trouver étrange que certains aspects de ses travaux rappellent certaines choses qui avaient déjà été dites de ci de là, et comme Éric Julien n’avait mis aucune référence à ces divers autres travaux, on était en droit de se poser des questions et d'être soupçonneux.

Malgré tout, il m'a proposé très cordialement de lui donner mon impression sur son nouvel ouvrage. Je me suis alors aperçu que d'autres personnes dont je ne connaissais pas encore les travaux et dont les noms sont cités dans cet ouvrage, avaient également produit diverses théories ayant trait à l'aspect fractal du temps et à sa densité variable. "La Science des Extraterrestres" renvoie par exemple au site du Dr Garnier-Malet, dont les travaux sur le dédoublement sont proches de certains principes énoncés par Éric Julien et dont il se sert pour formuler une partie de sa théorie en langage scientifique.

Alors, me direz-vous, pourquoi le nouveau livre d’Éric Julien a-t-il de l'intérêt ? Tout simplement parce qu'en le lisant de manière détaillée (et je l'ai décortiqué ligne par ligne ; cela m'a pris du temps : j'y suis allé comme une fourmi besogneuse !), on se rend bien compte que finalement les éléments qu'il a utilisés et qui ne sont pas de lui sont un peu comme les accompagnements d'une pièce musicale : ils existent en dehors de la mélodie principale, peuvent s’avérer utiles voire indispensables à l'écoute de la mélodie ; parfois ils ne servent qu’à l’agrémenter, mais ils ne représentent en aucun cas le cœur de la mélodie elle-même. Il n'y a donc pas eu plagiat des auteurs que j’ai mentionnés. (Il faut bien parfois reconnaître ses propres torts !)

Éric Julien énumère nommément dans cet ouvrage les travaux de diverses personnes ayant travaillé sur le temps et reconnaît les avoir utilisés à titre d'illustration ou simplement de confirmation de certains points de sa théorie. En même temps, on voit comment ces travaux correspondent chacun à une vision à travers un petit bout de lorgnette d’un ensemble cohérent plus large qui est exprimé dans son ouvrage. C'est une théorie, dont la preuve expérimentale reste à produire, mais pour laquelle justement les travaux des divers précurseurs cités dans le livre sont autant de prolongements ou de confirmations émanant d’individus ayant chacun un fonctionnement d'esprit différent.

Mon opinion sur ce livre est qu'il est hautement cohérent. J'ai dû poser de nombreuses questions à Éric Julien afin de clarifier certaines choses qui allaient parfois un peu vite pour moi, mais en fin de compte, il a répondu avec brio à mes petites interrogations qui sont dues à quelques sous-entendus ou non-dits dont l’expression aurait parfois nécessité plusieurs dizaines de pages supplémentaires. Étant donné que l'ouvrage contient déjà plus de 450 pages, il a préféré ne pas le rendre indigeste et en a parfois élagué le contenu.

Livre cohérent donc, mais il ne suffit pas que les morceaux du puzzle soient tous accordés entre eux ; encore fallait-il qu’ils correspondent à la réalité des choses ? C'est là que cela devient vraiment intéressant. En effet, le champ d'investigation de ce livre va du microscopique (étude de la matière au niveau fondamental, structure interne de l'onde de matière, structure de l'électron, de la lumière, structure de l'espace et du temps, des forces fondamentales, de l'énergie, de la chaleur, etc.) au macroscopique (étude de la formation des galaxies, de la gravitation à l'échelle universelle, de la masse manquante, etc.) ; il fournit des explications plausibles, cohérentes et conformes aux observations que la physique quantique et l'astrophysique ont pu faire mais pas expliquer. Évidemment cela reste théorique, mais c'est une espèce de théorie du tout, allant de l'infiniment petit à l'infiniment grand. En ce sens, Éric Julien jette les bases d'une nouvelle physique à la vision unificatrice et finalement fondamentalement simple (bien qu'abstraite), tout en rendant hommage aux travaux des personnes dont les idées lui ont servi à expliciter dans un langage scientifique ce qu'il avait en tête (Ari Letho, Jean-Pierre Garnier-Malet, etc.). Oui, d'autres ont travaillé sur le temps, oui leurs idées ont parfois été plus qu'utiles, mais il devient clair que la théorie d’Éric Julien va beaucoup plus loin que ce qui existait déjà et qu'elle est novatrice.

Cohérence dans son ensemble, cohérence avec la physique du microscopique au macroscopique, mais il y a encore plus : cette cohérence englobe les effets paranormaux (capacités parapsychiques, télépathie, déplacement dans les corps spirituels, mémoire des rêves, etc.) et les explications relatives aux effets induits par les OVNI (déplacement des vaisseaux, effets visuels divers, temps manquant, création de crop circles, impacts rayonnants sur la nature, etc.). Cet ensemble forme une sorte de « théorie du Super-Tout », mais qui n'a pas besoin d’arborescences compliquées pour en unifier les diverses composantes, car tout est basé sur un concept unique.

Tous les éléments de la théorie d’Éric Julien avaient déjà été mis en ligne sur ONCT, mais ils avaient été présentés en ordre dispersé, sans arguments pour les étayer. Depuis, le tout a été repensé grâce à un travail dont on sent l'énergie et l'intensité, ce qui permet de lier ces éléments et de les expliquer. Les explications sont légendées largement grâce à 142 schémas qui permettent d’en comprendre les aspects abstraits. Leur langage utilise des éléments scientifiques suffisamment explicites pour permettre de jeter les prémices d'une nouvelle physique sans jamais sombrer dans le jargon académique.

Si mon but avait été de faire de la promotion, je m'arrêterais ici, mais vous me connaissez et vous savez que je m'intéresse au fond des choses ; or, l'intérêt scientifique de ce texte est indéniable, car il nous permet de nous poser de nouvelles questions : les véritables questions.

J'ai donc demandé l'autorisation à Éric Julien d'utiliser une partie de ses textes et schémas. Avec son accord, je vais essayer de faire un résumé de "la Science des Extraterrestres" et d'exposer des points clefs caractéristiques de la cohérence de l'ensemble, afin que vous puissiez juger de la qualité de son travail.

Les schémas utilisés et les textes cités sont sous copyright, extraits de l’ouvrage "la Science des Extraterrestres". Ils ne peuvent être utilisés librement sans l’autorisation d’Éric Julien, comme tout document sous droit de propriété intellectuelle. Évidemment je vous renvoie vers l'ouvrage proprement dit, lorsqu'il sera édité.

Voici donc quelques éléments que j’ai extraits et qui m’ont semblé dignes d’un grand intérêt.

NOTA : Pour compléter certains aspects scientifiques, vous pouvez jeter un coup d'œil aux travaux de Garnier-Malet sur la théorie du dédoublement ICI.


0. Concepts

Densité temporelle et informations :


Il faut prendre pour acquis l'idée que le temps peut s'écouler à des vitesses différentes, parce qu'il n'est pas continu. Il s'écoule par paquets, par quantas pour reprendre l'expression de la physique quantique. Ces quantas de temps peuvent être en quantité plus ou moins dense, ce qui correspond à des vitesses différentes. Ces quantas temporels se déploient le long des mouvements des objets et des ondes.



Selon l'auteur, « les actions sont traduisibles en termes d'informations. » Nous verrons par la suite que cette notion d'information est capitale car elle remplace progressivement toutes les autres grandeurs physiques.

En effet, la mesure du temps ne peut pas se faire par une horloge ou autre procédé mécanique puisque cette mesure n'est pas absolue : le temps n'a pas de durée absolue. Pendant une seconde d'un temps mesuré dans une certaine densité (mesurée par un mécanisme d'horlogerie autorisé par un certain nombre de mouvements mécaniques par exemple), il peut s'écouler – admettons - 1000 chronons (je dis cela au hasard pour prendre une image). Mais dans une densité supérieure, il peut s'écouler 10 secondes par exemple, c'est à dire que la même horloge embarquée dans cette densité supérieure aurait pu réaliser les mouvements mécaniques permettant de décompter 10 secondes parce qu'il se serait écoulé 10000 chronons. Pendant la seconde mesurée en densité inférieure, il s'écoule en fait 10 chronons inaccessibles (de densité supérieure) entre chacun des chronons de la densité inférieure : le temps n'est plus mesurable en seconde : la seconde est une unité d'une densité particulière (la nôtre), mais en nombre d'actions (nombre de mouvements de l'horloge en l'occurrence). Les actions : mouvements, échanges d'interactions, etc. sont des informations. Une plus grande densité temporelle signifie plus d'information.

L'auteur ajoute que "l’information se manifeste par son énergie, laquelle peut traverser les E.T. On piège l'information en faisant dériver l'observation par le temps."


Temps et énergie :

Dans sa théorie de la relativité absolue, il reprend la terminologie de Veinik : il appelle « chronon » le quanta temporel. Les chronons sont une charge temporelle qui détermine la "quantité de temps" que possède un objet. En fait, l'étude est basée sur l'aspect ondulatoire des phénomènes. En physique, une onde lumineuse (comme l'onde de matière de de Broglie pour les particules) est caractérisée par sa fréquence d'où provient l'énergie. La quantité de chronons varie selon la fréquence de l'onde, et selon son amplitude.





Donc l'énergie (fréquence de l'onde) est liée à la quantité de chronons. Cela permet d'interpréter par la suite l'accroissement ou la diminution d'énergie par l'accroissement ou la diminution de la densité du temps (c'est à dire la "distance" temporelle entre chronons).
Il y a autant de densités de chronons possibles que d'énergie possible : une infinité. Chaque densité de chronon correspond alors à ce qui est appelé un "Espace-Temps".
En effet, l'espace et le temps deviennent intimement liés : l'espace écarte le temps.



Espace-Temps fractals :

Les espaces-temps sont alors fractals : ils se reproduisent à l'identique à des échelles différentes : chaque densité de temps supérieure existe à une échelle différente de la densité inférieure : entre les chronons, on a des trous à une certaine échelle (d'ailleurs la perception psychologique du temps est la perception de l'espacement entre les chronons : plus ils sont espacés, plus on sent le temps qui passe : on perçoit les intervalles "d'inactivité" du temps comme le temps qui "passe").



En grossissant les trous, on y voit d'autres chronons à une autre échelle : on parle de structure fractale (qui se reproduit à l'identique à des échelles plus petites les unes que les autres) :



Temps linéaire et temps cyclique :

Les chronons ont un rayon ; ce rayon est le rayon du temps cyclique.



L'antimatière est alors l'expression d'une matière qui se déplace dans un autre sens du temps (thèse reprise de Etienne Klein qui, selon l'auteur, est "apprécié par la communauté scientifique pour ses réflexions sur le temps, a écrit de nombreux ouvrages et articles scientifiques dont le thème central est justement la nature de la temporalité.").

E=ht selon le physicien Ari Letho où t est la mesure du temps cyclique. L'énergie dans un espace-temps particulier est caractérisée par la "taille" du temps cyclique à son échelle caractéristique. Éric Julien propose une écriture mathématique généralisée de l'énergie allant encore plus loin.

Selon l'auteur, "le temps quantifié est donc la période elle-même, quelle qu’elle soit. Le temps quantique est un cycle."



La matière se déplaçant dans le temps crée une boucle temporelle, la taille de cette boucle est celle du chronon. Mais il ne faut pas voir le chronon comme une particule absolue.



Le chronon est en fait une unité de mesure temporelle afférente à une densité particulière. Il peut lui-même être décomposé en d'autres chronons de densité supérieure par des temps cycliques plus petits :



Temps et causalité :



La densité de chronons (donc la fractale d'espace-temps qu'elle définit) est liée à la causalité.

Si les chronons sont assez proches les uns des autres au point d'être superposés (ils sont intriqués entre eux), alors le temps peut être parcouru plus facilement dans le sens "retour". Les espaces entre chronons étant réduits les informations sont plus denses (et en même temps on perçoit moins que le temps passe car l'espacement est plus faible; et pourtant le temps passe plus vite car il y a plus de chronons) : les effets et les causes sont alors plus rapprochés les uns des autres: il y a moins de causalité.



I. Une nouvelle physique

Conscience et perception à travers les densités du temps - temps présent :


La conscience n'est pas apte à vivre simultanément dans toutes les densités du temps. Lorsqu'elle est focalisée dans une densité particulière du temps elle perd des informations provenant de densités supérieures (puisque plus d'informations s'y déroulent en même temps) : c'est le temps manquant.



Ce temps manquant explique les rêves et leur incohérence: l'esprit navigue pendant la nuit dans des densités supérieures du temps qui sont trop denses en information pour le cerveau auquel l'esprit est relié: il n'en retient que des bribes et reconstitue alors des morceaux incohérents.



La conscience a besoin d'un temps linéaire pour apprendre et comprendre le monde qui l'entoure en expérimentant la causalité. En fait, c'est la conscience qui donne une perception linéaire à un temps qui ne l'est pas (il est cyclique et à densité variable).

La conscience peut voyager d'une densité à l'autre par le passage au point zéro commun des ondes de matière : lorsque les quantas des ondes de différentes densités du temps (donc différentes fréquences) coïncident, alors on a un instant d'existence simultanée (à travers plusieurs densités) : c'est le présent. La conscience transite d'une densité à l'autre par le passage par un point commun aux deux densités.



Selon l'auteur : "La mise en résonance de deux particules est précisément la technologie pour passer d’une fractale à une autre. C’est l’axe de la dimension Présent du temps 3D. C’est pourquoi deux atomes peuvent coexister au même endroit ! Ils n’en forment plus qu’un ! Ils constituent une porte temporelle."


Forces électromagnétiques :

La charge électrique et les champs magnétiques sont des expressions de fractales différentes : en effet, ils représentent de l'énergie. Une charge électrique en mouvement produit un champ magnétique : le différentiel de vitesse est donc traduit par un champ magnétique plus ou moins intense (qui marque une différence de densité plus ou moins grande).

Les charges électriques différentes entre proton et électron quant à elles représentent une tension énergétique : un équilibre entre tension spatiale (distance entre proton et électron) et tension temporelle (énergie du champ électrique entre les deux). L'espace et le temps sont intriqués et la charge électrique est uniquement un effet de séparation de l'énergie dans l'espace.

(Il y a aussi de nombreuses choses sur les forces fondamentales : force forte qui lie les quarks, force faible, sur la force gravitationnelle: mais j'y reviens après)

Énergie du vide :

C'est la fantastique quantité d'énergie qui est disponible dans les fractales de densités supérieures à la nôtre. Cette énergie est inaccessible en temps normal, mais elle est présente : les chronons des échelles fractales plus petites (densité de temps plus grande) représentent une énergie qui peut être rendue disponible par divers phénomènes dits de "pompage temporel". Cela consiste à faire jaillir des chronons de densités supérieures vers des densités inférieures.

C'est cette énergie qui est utilisée dans les machines à "énergie-libre" par pompage électromagnétique. Elle est potentiellement utilisable à condition d'être pompée (elle peut être pompée par des phénomènes de champs électromagnétiques tournants, de même manière que le pompage macroscopique peut se faire par rotation mécanique : j'y reviens après).

Selon l'auteur, " c’est cette énergie (se trouvant en réalité à de multiples étages fractals) que les corps subtils utilisent et desquels les phénomènes paranormaux tirent leur capacité à survenir !".

Si les corps subtils de l'homme sont des assemblages matériels dans des densités supérieures du temps (donc dans des espaces-temps fractals autres) ils ont alors la possibilité de contrôler l'énergie disponible dans leur densité afin de la faire surgir dans des densités inférieures.

Pompage temporel et lien entre espace et temps :

Le déplacement crée une augmentation de la densité temporelle : c'est le pompage macroscopique. La vitesse "compresse" l'espace et ce faisant augmente la densité de chronon. D'ailleurs on se rappelle que la densité de chronons caractérise l'énergie : plus on va vite, plus on a d'énergie.



Selon l'auteur, "la vitesse de la lumière, pour la Relativité Absolue, est la limite d’échange de l’espace en temps obtenue par un mouvement."

La vitesse de la lumière est la vitesse au-delà de laquelle l'objet s'est éloigné de sa densité temporelle de départ d'une telle échelle qu'on ne peut plus le percevoir dans cette échelle de départ.



Voir également le calcul de la vitesse de la lumière mesurée dans la théorie du dédoublement de Garnier-Malet, comme limite entre 7 espaces fractals consécutifs à partir du nôtre (7 "itérations" fractales), qui est un argument de poids en faveur de la théorie d’Éric Julien. En fait, tout ce qui va trop vite pour être perçu de notre échelle est perçu comme allant à la vitesse de la lumière qui est la limite de perception d'une fractale d'espace-temps.

Le lien entre espace et temps est donc le suivant : plus il y a d'espace et moins il y a de temps et inversement : c'est l'application de la compression de l'espace par le mouvement.

Notons que la température est la mesure du mouvement de l'agitation dite "thermique" des atomes c'est-à-dire du mouvement microscopique. Ainsi, la température est une mesure de la densité temporelle dans laquelle se trouve l'objet mesuré (par rapport à la nôtre). D'ailleurs encore une fois, cela est cohérent avec la définition de l'énergie : l'énergie dépend de la température ; il est donc logique que l'énergie mesure la densité temporelle.

Dans des densités de temps supérieures, le temps est plus dense, donc plus rapide, mais en même temps l'espace est plus petit par un effet inverse.

Le mouvement rotatif produit un pompage macroscopique (et les expérimentations par les russes : Kozyrev, etc. montrent bien que les mouvements rotatifs augmentent la quantité de chronons et changent le flot du temps).



Matière et temps :

Qu'est-ce que la matière ? La physique quantique répond : une onde (une onde de matière). En fait, la matière est une onde d'une fréquence particulière dans une densité particulière du temps.

Mais une onde est souvent accompagnée d'harmoniques dans les divers phénomènes connus de la physique: ondes sonores, mouvements mécaniques. L'idée est qu'une onde de matière est aussi accompagnée d'harmoniques. Ces harmoniques sont donc des ondes de fréquences différentes, représentant la matière dans des densités différentes : c'est en ce sens qu'une particule matérielle existe simultanément dans toutes les densités en même temps. Mais dans les densités supérieures, la matière se déploie dans un milieu où la quantité d'information est plus grande et où la causalité diminue: la matière suit donc des lois différentes selon la densité.

On imagine facilement l'application que l'on peut faire aux corps spirituels de l'homme qui sont des images fractales d'une unique "matière" existant dans une densité très supérieure (l'âme).

De manière inverse, une onde dans une densité supérieure peut se traduire par des ondes de fréquences diverses dans des densités inférieures. Ces ondes sont des particules dans la densité physique. Une particule en densité supérieure peut donc devenir une multitude de particules de densités inférieures. C’est ainsi que s’expliquent les phénomènes de physique quantique dans lesquels la matière semble être intriquée à distance : en fait, ce sont des visions dans des fractales inférieures d'une onde de "matière" unique en densité supérieure.

Par application de ce principe, l'auteur suggère que l'atome avec son cortège d'électrons est en fait une image multiple d'un unique objet en densité supérieure. Les électrons qui se répartissent sur les couches électroniques sont des images démultipliées d'un unique électron qui est lui même l'image des protons du noyau :



(voir aussi la partie sur les forces électromagnétiques expliquant comment un équilibre entre tension d'espace et de temps fait émerger de l'énergie du vide sous forme d'atome : proton et électron. Ainsi, la matière vient du vide.)

À un niveau encore supérieur, les atomes sont des expressions différentes d'une même entité matérielle de densité supérieure ; et en appliquant le même principe, plus on remonte "haut" et plus on se rend compte que les objets séparés à notre niveau de réalité sont un seul et même objet unique universel. C'est le principe holographique : tout l'univers n'est que le reflet multiple d'une seule chose unique en densité infiniment supérieure (de Dieu). Cela explique tous les phénomènes de non-localité en physique quantique. Évidemment c'est une hypothèse de construction de la théorie, pas une démonstration (en physique rien n'est une démonstration, si ce n'est le réel).

L'auteur ajoute: "Chaque électron est constitué de plusieurs photons (autre fractale spatiotemporelle) dont l’équilibre est rompu par toute variation de niveau d’énergie. C’est pourquoi un électron peut absorber (quand il en manque un) ou émettre (trop plein) un photon. Il n’est donc pas étonnant que des scientifiques japonais des laboratoires de recherche Hitachi aient mis en évidence un comportement d’électrons identique à celui des photons au cours de l’expérience d’interférométrie des fentes de Young, dans les années 1980."

La matière au zéro absolu a un comportement particulier (absence de mouvement, donc absence d'énergie thermique). Dans cet état particulier du zéro absolu peut survenir une certaine cohérence particulière de la matière (les condensats de Bose-Einstein) dans lesquels les physiciens mesurent une vitesse de la lumière extrêmement faible, et même quasi nulle (qu'ils interprètent comme un indice de réfraction du matériau tendant vers des valeurs presque infinies). L'idée de l'auteur est que cela traduit plutôt le fait que dans cet état la matière se trouve dans une autre fractale d'espace-temps dans laquelle l'échelle de mesure temporelle et spatiale (dépendant de la densité du temps) explique ce phénomène. C'est en effet un phénomène qui se déroule au niveau microscopique, et le passage de notre échelle à l’échelle microscopique induit un changement du rythme du temps : la densité du temps et l'échelle de l'espace sont intimement liés.


Théorie du Big-Bang et décalage vers le rouge :

La théorie du Big-Bang a pour seul pilier le décalage vers le rouge : tous les objets de l'univers (galaxies, amas, étoiles, quasars, etc.) ont un décalage de leur spectre vers le rouge. Ceci est expliqué en théorie classique par l'éloignement des objets célestes les uns des autres : l'univers est donc en expansion, ce dont on déduit par projection une explosion initiale dans le passé : le Big-Bang.

Mais la relativité absolue explique ceci différemment : les dimensions spatiales différentes représentent des fractales différentes : le temps et l'espace n'ont pas la même densité à l'échelle des galaxies qu'à l'échelle humaine. Cette différence d'échelle induit une mesure décalée vers le rouge, sans qu'il n'y ait éloignement des galaxies.



À une échelle spatiale plus grande correspond un temps propre différent. L'auteur dit : "Au lieu d’interpréter le rougissement par la vitesse de récession des corps célestes qui augmentent avec la distance (fondement de l’expansion universelle), on peut plus simplement dire que la quantité de temps diminue à mesure que l’on regarde loin."

Cela remet en cause la conception de l'univers en expansion.

Masse manquante et gravitation :

La gravitation paraît suivre une loi fixe à notre échelle (la constante de gravitation est fixe) mais en fait, elle dépend du flot du temps, car elle se mesure comme une accélération (donc dépend du temps). À des échelles de temps différentes, la gravitation n'a pas la même valeur.



Ainsi, à l'échelle de l'univers, la gravitation est plus forte et est plus faible à l'échelle quantique (d'ailleurs c'est la force la plus faible à l'échelle quantique). Cette différence explique la masse manquante de l'univers (qui manque pour expliquer les inexactitudes de la loi de la gravité observées en astronomie)

L'auteur propose aussi une explication de la formation des galaxies à partie de l'énergie du vide (par pompage de l'énergie de fractales supérieures) à partir du centre :




II. Applications à l'ufologie

Déplacement des OVNI :


L'auteur dit : "Le mouvement rotatif (pompage temporel macroscopique) associé à des champs tournants électromagnétiques (pompage temporel microscopique) cumulent suffisamment de chronons pour faire basculer le système d’une fractale dans une autre."



La cohérence de la matière :

Il faut lire la partie détaillée du fonctionnement du vaisseau et la manière dont la matière décohérée voyage entre les densités temporelles (qui a un rapport avec la cohérence "froide" évoquée plus haut dans "Matière et temps").

Une fois basculé dans une autre fractale du temps, le vaisseau obéit à la gravitation de cette fractale : elle est bien moindre dans une fractale de densité supérieure. Ainsi, il devient facile au vaisseau de faire de la sustentation gravitationnelle (de flotter en l'air). En enrobant une personne dans un champ temporel de même nature (le champ de chronon produit peut être dirigé), il peut réussir à faire flotter l'individu (par microgravité) : une très faible force suffit alors à l'attirer vers le vaisseau (abduction).



Le déplacement en densité supérieure dans laquelle l'espace est contracté n'a pas besoin de prouesses techniques : les distances qui paraissent immenses à notre échelle deviennent infimes en densité supérieure, et de plus le temps s'y écoule plus vite : le vaisseau qui se déplace à vitesse rapide en densité supérieure paraît alors à nos yeux doué d’une survélocité. Il dépasse largement la vitesse de la lumière de notre point de vue, alors qu'il va à vitesse bien plus lente dans son propre espace-temps.

Selon l'auteur, "ces vaisseaux voyagent, non pas dans l'espace, mais à travers les E-T superposés (ou imbriqués)."

Les extraterrestres sont donc avant tout, selon lui, des ExtraTemporels.

Déplacement entre fractales temporelles :

Selon l'auteur, "la liaison hydrogène de l’ADN, qui est une liaison électronique faible (c’est grâce à cela que l’on peut manipuler les génomes), est le facteur essentiel de l’incapacité du corps physique actuel à s’élever dans les hautes densités temporelles (ce que nous appelons l’Ascension) et donc à se dématérialiser naturellement. Pour que cela soit rendu possible, il faut donc adjoindre d’autres hélices afin d’accroître la capacité des flux d’informations en terme de connectique, synonyme de densité temporelle."

Ceci explique le fait que beaucoup d'enseignements spirituels parlent de mutation génétique nécessaire à l'élévation de la conscience. Certains contactés parlent aussi de chaînes d'ADN manquantes ; le fait n'est pas nouveau.

Avec une génétique meilleure, l'homme pourrait naviguer consciemment entre différentes densités du temps comme le font les extraterrestres.


Le corps humain est paralysé par les densités temporelles supérieures qui ne sont pas adaptées à sa structure. Seuls, les organes ayant une structure fracatle (dont le fonctionnement se fait microscopiquement comme macroscopiquement) fonctionnent à peu près correctement en présence d'un champ temporel de densité supérieure : poumons (micro-alvéoles), cerveau (structure des neurones), etc. mais de manière ralentie, ce qui explique les phénomènes de paralysie du corps : certains organes sont bloqués, alors que certains restent opérationnels, assurant le fait que la personne abductée demeure malgré tout consciente de ce qui lui arrive.

Effets environnementaux et perceptifs :

De nombreuses caractéristiques d’OVNI observées par des centaines de témoins (effets bizarres sur l'environnement, formes, bruits, caractéristiques de déplacement, etc.) s’expliquent à l'aide de la relativité absolue.



Les mouvements erratiques de balancement des OVNI qui ont souvent fait dire à leurs détracteurs qu’il s’agit de canulars (objets suspendus à une corde) résultent de leur technologie de rotation hyper-véloce (par pompage temporel). Parfois les photos sont floues : cela provient la plupart du temps du fait que le vaisseau n'est pas entièrement matérialisé dans notre densité.









Les OVNI peuvent être silencieux et ne pas produire de bang supersonique, sans pour autant utiliser de technologie MHD chère à Jean-Pierre Petit (et qui doit être employée par les Ummites qui ne savent peut-être pas utiliser les technologies de densité du temps ou ne veulent pas le dire, ne nous lâchant que des bribes de technologie inférieure) : il suffit que le temps d'écoule différemment dans la bulle autour de l'OVNI ; le flux d'air qui l’entoure s'écoule alors à vitesse réduite.

De nombreux témoins attribuent des formes bizarres aux OVNI et même des changements de forme au cours de leurs observations. L'explication est là aussi que le vaisseau est une onde de matière pouvant apparaître de façons diverses (une forme également malléable par le pilote du vaisseau selon l'apparence qu'il veut prendre pour les témoins. - On se rappelle des vagues d'observations de ballons dirigeables dans les siècles derniers : les OVNI avaient l'apparence que les gens pouvaient attendre d'eux ; les dirigeables étaient les seuls objets capables de voler qu’ils connaissaient.).

Les OVNI paraissent parfois rétrécir, ou disparaître instantanément ; cela s'explique aussi.



De temps en temps, les témoins parlent de faisceau de lumière tronqué, dont la longueur est variable. On a des photos d'un tel cas d'ailleurs. Les physiciens cherchaient à l'expliquer par un flux de particules énergisant l'atmosphère, dont la longueur dépend de l'énergie... Avec la relativité absolue, l'explication devient plus simple et cohérente.



Les cas de groupes de lumières qui se divisent puis fusionnent sont nombreux aussi : les OVNI se multiplient et se fondent les uns dans les autres. Là encore, la même théorie explique ces observations (D'ailleurs, ces multiplications ont lieu quand l'OVNI prend la forme d'une lumière, qu'il se dématérialise pour devenir une onde de matière malléable ; cela est cohérent avec le reste).

Formation des Crop Circles :

Elle s'explique aussi par les effets de densité temporelle supérieure : l'humidification des blés par le vaisseau (dont la température est basse par cohérence froide), l’ionisation des blés par les micro-ondes émises depuis le vaisseau, et le mouvement rapide du vaisseau dans les champs en mode invisible ou partiellement matérialisé (en tant que boule de lumière par exemple). Sa forme dépend de la position de la personne qui le regarde et du niveau de densité temporelle où se situe le vaisseau. Les blés ionisés par les champs de micro-ondes sont aimantés et suivent les mouvements imposés par le puissant champ électrique du vaisseau. La forme est donc dictée par le mouvement du vaisseau lui-même contrôlé par l'équivalent d'un ordinateur de bord (c'est le seul mot humain pour le qualifier).




III. Conclusion :

Le livre d’Éric Julien contient de nombreux détails sur tous ces sujets que j'ai seulement abordés ici, afin d’éveiller la curiosité des lecteurs ; tous ces détails sont en cohérence avec la théorie centrale qui apparaît bien comme une "théorie du Tout" (aussi bien dans le domaine des sciences que celui des corps spirituels de l'homme et des phénomènes paranormaux qui sont aussi en partie développés dans l'ouvrage). Evidemment, le détail est à lire pour approfondir, et j'ai zappé un très grand nombre d'autres sujets tout aussi importants : il m’est difficile de résumer en quelques lignes un livre de 450 pages. Mais il me semble que ce que je viens d’indiquer est suffisant pour comprendre la nature du travail réalisé et permettre de se poser de sérieuses questions sur la nature réelle de l'univers.

Toutes questions ou remarques à propos de cette théorie devraient être débattues directement avec son auteur (que vous pouvez contacter ICI).

Il me semble que ce travail mériterait d’être prolongé par des travaux scientifiques, afin de l'expérimenter et de donner un cadre théorique encore plus solide à cet ensemble qui présente un intérêt indiscutable. Le phénomène OVNI ne peut plus aujourd’hui se résumer à de simples rapports d'observations : la nouvelle ufologie est indéniablement liée à la nouvelle physique. Le livre d’Éric Julien est avant tout un travail de physicien, et ce n’est un livre d'ufologie que par application. C'est pour cette raison qu’il s’agit probablement de l'un des meilleurs livres d'ufologie jamais écrits, d'un point de vue scientifique. »

Pascuser - février 2005
Document transmis par Éric Julien à ÈRE NOUVELLE le 25 février 2005
Diffusion originale : ONCT


Vous pouvez écrire à Éric Julien ICI




Autre document d’Éric Julien à lire absolument :
La plus grande découverte de tous les temps.

On peut également lire ou relire le message transmis par Éric Julien sous le pseudonyme de Jean Ederman :
Changez le monde par effet de levier : décidez que nous apparaissions !


 
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