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Amérindiens et Galactiques
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Les êtres des étoiles sont depuis des temps immémoriaux invoqués par les Amérindiens lors de certains rituels sacrés. Selon différentes traditions sioux, hopis, yaquis ou cherokees, mais aussi aztèques, mayas et laponnes, le langage de la plupart des peuples amérindiens avait au départ été conçu pour faciliter et stimuler la communication télépathique avec les extraterrestres. Standing Elk dit aussi que Jésus venait des étoiles, que des êtres des étoiles sont régulièrement envoyés sur notre Terre pour nous enseigner, stimuler notre croissance spirituelle et nous préparer aux changements terrestres qui arrivent. Selon lui, les Amérindiens ont le même ADN que certains peuples d’outre-espace. Il reconnaît cependant qu’il y a parmi les extraterrestres des renégats qui ont accepté de collaborer avec le "Gouvernement de l’Ombre", tout en affirmant que le temps qui leur avait été accordé touche maintenant à sa fin, et que les méfaits qu’ils continuent de commettre sur notre planète sont les derniers crimes qu’ils soient autorisés à accomplir. Après le passage de Buffalo Calf Woman, des prophéties furent révélées à diverses tribus amérindiennes. Elles annonçaient que l'homme blanc viendrait bientôt, qu’il détruirait non seulement leur civilisation, mais peut-être aussi la planète toute entière. Puis viendrait ensuite le temps de la "Nation du Bison", fusion dans l’unité et l’harmonie de la race rouge avec une partie des races blanche, noire et jaune. La "Nation du Bison" serait le ferment d’une nouvelle société de paix, de justice et de fraternité. Les prophéties annonçaient que la création de la "Nation du Bison" coïnciderait également avec le retour sur la Terre des "Nations des Étoiles" (civilisations des autres systèmes stellaires). Elles révélaient enfin que le commencement de cette Nouvelle Époque serait annoncé par la naissance d'un bébé bison blanc femelle, dont la robe changerait de couleur, pour devenir jaune, rouge et noire. Or, en 1995 naquit dans le Wisconsin un bison blanc femelle nommé "Miracle". Ce bébé bison était la première femelle au poil entièrement blanc à naître depuis des générations. C’est Floyd Hand, un « homme-médecine » Lakota qui révéla cette naissance à la presse américaine, ajoutant : "Pour nous les Indiens, c'est comme le Retour du Christ pour les Blancs". Comme pour confirmer l’imminence de la réalisation des prophéties, d'autres bisons blancs femelles naquirent après "Miracle", dont l’une dans une réserve indienne du Dakota. Devant ces signes patents, Arvol Looking Horse, le "Gardien de la dix-neuvième génération du Calumet Sacré de la Femme Bison Blanc pour la nation Lakota-Dakota-Nakota", décida de réunir différents chefs religieux, notables et dignitaires amérindiens, mais également des Occidentaux, en particulier des représentants du courant New Age et de différents mouvements pacifistes internationaux. Il se rassemblèrent le 21 juin 1996 dans le Wyoming à Grey Horn Butte au pied de l’endroit nommé "Devil's Tower", qui est la montagne sacrée des Cherokees (rendue célèbre par Spielberg dans son film "Rencontres du 3ème type"). Arvol Looking Horse, chef spirituel des Indiens Lakotas, Dakotas et Nakotas Depuis cette date, la journée du solstice d’été est devenue un jour de fête au cours duquel de nombreuses personnalités indiennes et occidentales continuent chaque année de se réunir et d’accomplir dans le Dakota et le Wyoming un travail spirituel commun en faveur de la paix et de la fraternité mondiales (Cf. notre page consacrée à Arvol Looking Horse et à son appel à la prise de conscience de l’humanité après le 11 septembre 2001). Différents représentants du mouvement dit "New Age" participent chaque année à ces rassemblements. Signalons au passage que le New Age est considéré par de nombreux Anglo-Saxons comme une grande richesse socio-culturelle et par certains comme le ferment de la future civilisation planétaire, alors qu'il continue d’être méconnu, voire ridiculisé en France. Les anciens et les leaders spirituels des différentes tribus d'Amérique du Nord ("Turtle Island") s’expriment librement au cours de ces congrès. On y rencontre des Lakotas, des Ogladas, des Dakotas, des Nakotas, des Blackfeet, des Miniconjous, mais aussi des Iroquois, des Obeidas, des Senecas, des Choctaws, des Cherokees, ou encore des Hopis, des Yucks, des Apaches, des Yaquis, ainsi que des représentants des communautés aztèques, mayas, maoris, sammis, laponnes. Confrontés à l’imminence de la réalisation des anciennes prophéties, ils n’hésitent plus, ni les uns ni les autres à évoquer leurs contacts extraterrestres. Ils affirment que le temps est venu de révéler leurs origines galactiques, l'influence des visiteurs de l'espace sur leurs cultures, croyances spirituelles et cérémonies, ainsi que l'annonce du retour imminent et massif sur la Terre de nos Frères et Sœurs des étoiles. Deux grands reporters français, Rachel et Jean-Pierre Cartier ont participé il y a quelques années à l’un de ces étranges rassemblements. Ils y ont, bien sûr, fait toutes sortes de rencontres passionnantes. Parmi les témoignages recueillis par eux, celui de Connie nous a semblé mériter un intérêt tout particulier. Voici cette interview. « Nous avons hésité à publier le témoignage de Connie et nous nous demandons encore aujourd’hui si nous avons raison de le faire. Si nous le faisons, ce n’est pas pour faire un bond dans le fantastique mais pour bien souligner les relations particulières que les Amérindiens – au moins ceux que nous avons rencontrés – entretiennent avec le monde de l’espace. Nous l’avons dit : nombreux sont ceux qui pensent que leur peuple est venu des étoiles, souvent des Pléiades. Ils sont persuadés qu’aujourd’hui encore, des êtres descendus des étoiles viennent les aider dans leur chemin sur la Terre. Un peu comme les bodhisattvas de l’hindouisme et du bouddhisme. Des êtres de Lumière qui ne se distinguent pas des autres mais que les sages peuvent reconnaître. Beaucoup croient que lorsqu’un sage meurt, il devient une planète. Tout cela pour dire que si le récit de Connie peut nous paraître à nous, Occidentaux rationalistes, à la limite du farfelu, il paraît à beaucoup d’entre eux tout naturel. Certains parlent librement de ces choses-là, d’autres hésitent à en parler parce qu’ils considèrent que cela fait partie de l’enseignement qui ne doit pas être divulgué, en tout cas pas à ceux qu’ils appellent les Blancs. J’ajoute que le mystère auquel nous ne sommes pas habitués nous semble, bien entendu, beaucoup plus incroyable encore. Nous qui baignons dans le christianisme depuis deux mille ans, nous ne sommes pas choqués lorsque nous lisons dans la vie des saints des phénomènes tels que la bilocation, les stigmates, la lévitation… Nous étions récemment à Assise où on nous a montré tout à fait sérieusement la corniche sur laquelle se posait Saint Joseph de Cupertino, tout en haut de la voûte, lorsqu’il avait une poussée de lévitation. Nous pourrions multiplier les exemples du merveilleux accepté parce qu’il est dans notre tradition. Je ne peux oublier, dans les Actes des Apôtres, la visite de Saint Paul à Athènes. L’aréopage l’a entendu avec sympathie pendant un bon moment mais, lorsqu’il a parlé de la résurrection de Jésus, les gens sont partis en lui disant : « Sur ceci, nous t’entendrons une autre fois. » Il leur paraissait fou, invraisemblable qu’un homme ait pu ressusciter. Ce qui ne les empêchait pas d’accepter sans discussion les événements fabuleux dont était peuplée leur mythologie. Nous allons donc entrer avec Connie dans un univers qui n’est pas le nôtre mais dans lequel beaucoup d’Amérindiens se meuvent à l’aise. Plongeons donc dans son témoignage. Connie : Je m’appelle Connie Miller. Je suis la fille d’un pasteur baptiste très fondamentaliste du Sud. Il était d’origine indienne mais il ne voulait surtout pas que cela se sache. Moi-même, je ne l’ai, appris que lorsque j’ai eu trente-cinq ans. Je ne savais pas davantage que ma mère était cherokee. C’est qu’elle avait été élevée comme une fille blanche. Son père avait été enlevé, comme tant et tant d’enfants indiens, pour l’arracher au « paganisme » de sa famille d’origine. Il a recherché toute sa vie cette famille mais en vain. À cette époque, on ne faisait pas de papiers d’adoption légale. - Rachel : Connie Miller, ce n’est pas du tout un nom indien. - Connie : Non, j’ai longtemps dû garder mon vrai nom dans mon cœur. - Rachel : Comment le connaissiez-vous ? - Connie : Il m’a été révélé par un esprit qui s’est fait connaître à moi sous le nom d’Aigle rouge. Je m’appelle vraiment Ohennaka, ce qui signifie Étoile du matin. J’étais encore toute petite lorsque je me suis sentie attirée par un appel que je ne comprenais pas. Un appel vers autre chose. Tout naturellement, puisque je ne connaissais que cela, je me suis lancée dans l’étude de la Bible. Pendant dix ans, je l’ai étudiée à fond tout en sachant, au fond de moi, qu’il me faudrait un jour découvrir autre chose. Un soir, poussée par je sais quelle impulsion, j’ai ouvert la télévision et je suis tombée sur un programme de Leonard Nimoy qui s’appelait : « À la recherche de… » Cette nuit-là, il était consacré à la recherche des anciens astronautes. Je n’ai pas compris pourquoi, mais cela a fait vibrer en moi une corde secrète, comme si quelqu’un en moi se souvenait. Je me sentais au bord d’une découverte et j’ai demandé à dieu de me donner la sagesse, la connaissance et le discernement. À partir de ce moment-là et peu à peu, mes guides ont commencé à travailler avec moi. - Jean-Pierre : J’aimerais bien en savoir un peu plus sur ces guides. Comment sont-ils apparus ? Qui étaient-ils ? - Connie : Cela ne se passe pas ainsi. Je ne les voyais pas mais je sentais qu’ils me guidaient. Par exemple, j’allais dans une librairie et je sentais que quelqu’un me posait la main et la posait sur le livre dont j’avais besoin à ce moment-là. Et il est vrai que ce livre répondait toujours à des questions que je me posais, que ces questions posaient de nouvelles questions, lesquelles trouvaient à leur tour leurs solutions dans de nouveaux livres qui m’étaient proposés. Et puis un jour, mon guide a tiré le tapis sous mes pieds. - Jean-Pierre et Rachel : ?... - Connie : C’est-à-dire qu’il m’a fait perdre mon travail et m’a obligée à aller travailler à la NASA à Houston. Là, j’ai appris que les ovnis existaient réellement. C’était une préparation pour ce que j’allais être appelée à vivre. Petit à petit, en effet, je suis entrée en contact avec les êtres de l’espace. Ils me plaçaient, comme ils disaient dans un rayon de tension, c’est-à-dire un rayon de communication. Ce n’est pas un rayon que vous pouvez voir, mais vous le sentez sans aucun doute possible. - Rachel : Que vous disaient-ils par l’intermédiaire de ce rayon ? - Connie : Beaucoup de choses, mais je ne dois pas entrer dans les détails. Un jour, ils m’ont révélé que j’avais un père à bord d’un de leurs vaisseaux spatiaux. Un père qui venait des Pléiades. - Jean-Pierre : Et vous l’avez cru ? - Connie : Bien sûr que non ! Mettez-vous à ma place ! Et cela d’autant plus qu si je voulais conserver un esprit ouvert, j’étais bien décidée à ne pas croire à n’importe quoi. Je leur ai demandé le nom de mon père et le nom de son vaisseau, mais ils n’ont pas voulu me répondre. Nous en sommes restés là, mais, par la suite, ils sont entrés de temps en temps en communication avec moi, comme pour me faire savoir qu’ils étaient toujours là. Huit années ont passé ainsi. Un jour, j’étais à Sadona en train de soigner la cheville d’un ami blessé lorsque j’ai reçu un message. On me disait d’entrer en méditation. Il était environ quatre heures de l’après-midi. Au bout d’une minute, j’étais déjà hors de mon corps et tout à fait consciente. J’ai vu mon corps de lumière quitter le fauteuil, monter, monter, se déplacer dans l’obscurité de l’espace et arriver à proximité d’un énorme vaisseau spatial. Je me souviens de tous les détails comme si cela venait de se passer. Je me suis retrouvée à l’intérieur du vaisseau, dans une pièce d’environ dix mètres carrés dont les coins étaient arrondis. Il y avait aussi un arrondi à l’endroit où le plafond rencontrait le mur. La pièce était toute blanche, le sol aussi. Devant moi se trouvait un homme qui devait mesurer un mètre quatre-vingt-dix. Il était mince et bien bâti. Il portait une combinaison spatiale étroitement ajustée, des bottes souples et blanches et il avait un casque sur la tête. Il m’a dit qu’il était mon père. Bien sûr j’ai été choquée et je n’ai pu que balbutier : « Mon Dieu ! Êtes-vous vraiment mon père ? – Oui, m’a-t-il répondu et c’est pourquoi je t’ai amenée ici maintenant. Le temps était venu de te le dire. » - Rachel : S’agissait-il d’un père spirituel ? - Connie : Non. Il était physiquement mon père. Je ne peux vous expliquer ni pourquoi ni comment mais je sais que c’est vrai. - Rachel : Alors votre père physique, celui que vous avez toujours connu, ne serait pas votre père ? - Connie : Il ne l’est pas et cela m’a tout de suite posé une question : comment puis-je être cherokee si mon père physique n’est pas mon vrai père ? Je l’ai demandé un peu plus tard à l’être qui se trouvait devant moi et il m’a répondu par cette question : « D’où crois-tu que viennent les Cherokees ? Eux aussi, ils viennent des Pléiades. » Alors il s’est avancé vers moi, m’a embrassée, a pris mon bras et m’a conduite vers le mur qui s’est ouvert. Nous sommes entrés dans un « biodôme », c’est-à-dire un très grand jardin. Si grand qu’il y avait des nuages au sommet, des collines, des rivières, des arbres, des animaux, des oiseaux, des papillons… Autour, il y avait comme un trottoir d’environ trois mètres de large. On aurait dit des pavés, mais ils étaient beaucoup plus lisses que nos pavés à nous. Il y avait un peu partout des bancs faits dans le même matériau. Des oiseaux chantaient. Marchant dans les sentiers, je voyais d’autres membres de l’équipage, vêtus comme l’était mon père. Un homme s’est approché de nous et mon père m’a dit qu’il s’agissait du capitaine Oltra avec lequel j’avais déjà été en communication télépathique. « Il est temps pour toi de retourner », m’a-t-il dit au bout d’un moment et je me suis immédiatement retrouvée dans mon corps et dans mon fauteuil. - Rachel : Vous étiez d’accord pour revenir ? - Connie : Absolument pas. - Rachel : Combien de temps a duré ce voyage ? - Connie : Une heure et demie environ. Mon ami Robert, celui dont j’avais soigné la cheville, se trouvait de l’autre côté de la pièce. Il avait terminé sa méditation et il attendait que je termine la mienne. Il a vu que je pleurais et, quand j’ai ouvert les yeux, il m’a demandé : « Est-ce que ça va bien ? » Je lui ai raconté ce que je venais de vivre et j’ai ajouté que c’était si extraordinaire que je ne pouvais pas y croire. Alors il m’a demandé : « Mais pourquoi est-ce si difficile à croire ? » Cela m’a fait du bien. C’était en octobre 1985. Trois ans plus tard, je me trouvais en Californie dans la maison d'une femme dont la mission est de recevoir les enseignements des êtres de l'espace. Elle me montrait une série de tableaux qu'elle avait faits et qui représentaient un certain nombre de ces êtres. - Jean-Pierre : Comment avait-elle fait pour les peindre ? - Connie : Ils lui ont dit que les temps étaient venus où les hommes allaient avoir besoin de les reconnaître. Ils ont guidé sa main. Sur l'un de ces tableaux, j'ai reconnu mon père. La femme m'a dit qu'il s'appelait le commandant Soldec. C'est exactement le nom que j'avais reçu dans un message. Regardez-le : j'ai fait une photo du tableau. Sur l'un de ces tableaux, j'ai reconnu mon père. La femme m'a dit qu'il s'appelait le commandant Soldec. - Rachel : C'est vrai qu'il est beau. Pourquoi porte-t-il une croix ? - Connie : La croix est un symbole très ancien. Un symbole qui date de millions d'années avant le christianisme (Cf. notre page Le Sphinx à deux têtes). De toute façon, les êtres de l'espace sont des disciples du Christ. - Rachel : Ne dit-on pas que le Christ reviendra sur un char céleste ? - Connie : "Ce Jésus qui vous a été enlevé pour le Ciel reviendra de la même manière que vous l'avez vu s'en aller vers le Ciel." C'est dans les Actes des Apôtres. - Jean-Pierre : Et depuis vous n'avez pas revu votre père ? - Connie : Si, j'ai été reprise à bord plusieurs fois mais c'est à peine si je m'en souviens. - Jean-Pierre : Pourquoi ? - Connie : Ce sont eux qui me l'ont expliqué. Ils m'ont dit qu'ils avaient le pouvoir de bloquer la mémoire. - Jean-Pierre : Mais pourquoi feraient-ils cela ? - Connie : Ils m'ont dit que c'était pour ma protection. D'après eux, il y a sur Terre beaucoup d'êtres qui appartiennent aux forces du mal et qui risquent de mettre en danger ceux qui travaillent pour l'avènement de la Lumière. Tout ce dont je me souviens, c'est de la dernière fois où j'ai été prise à bord. C'était l'automne dernier dans un lieu sauvage de l'Arizona. Mais encore une fois, je n'ai que de vagues souvenirs. Je sais seulement que mon père m'a baptisée « Petra » parce que, a-t-il dit, "Tu es solide comme un rocher et têtue comme lui." Il est vrai que je suis souvent très obstinée. Je ne le regrette pas car, à partir du moment où je me suis engagée sur le chemin ésotérique et spirituel, il m'a fallu passer par sept années d'une intense recherche. Les esprits m'ont testée pour m'enseigner le discernement. Ils m'ont tentée avec des visions de grandeur. Ils ont voulu voir si je ne m'engageais pas sur le chemin de l'ego, du pouvoir, de l'argent… - Rachel : Mais comment savez-vous que ce sont les esprits qui vous ont envoyé ces "tentations"? - Connie : Ce sont des être appartenant à ce qu'on appelle "la Fraternité de la robe noire". Ils ne sont pas méchants mais leur travail est de tester le métal dons nous sommes faits. - Rachel : Est-ce-que vous parlez de l'avenir avec les êtres de l'espace ? - Connie : Ils insistent beaucoup sur le fait que la Terre est malade et menacée de disparaître mais ils ajoutent que l'esprit humain peut encore empêcher la catastrophe. C'est un espoir. Nous devons sans cesse entretenir des pensées d'amour, de guérison, de coopération avec tous les êtres et avec Notre Mère la Terre. Ils savent que nous, les Indiens, nous avons un grand rôle à jouer dans ce domaine et d'énormes responsabilités. Ils insistent beaucoup sur l'Unité. Voilà pourquoi lorsque Dhyani m'a demandé ce que j'avais à dire dans le cercle des Anciens, j'ai insisté sur le fait que nous devions cesser de nous disputer, de nous haïr à propos des mots. Il y a beaucoup de religions sur la Terre et beaucoup de langues qui sont autant de limitations. Nous devons cesser de nous disputer à propos de Dieu sous prétexte que nous le voyons de manières différentes. Lorsque nous nous disputons, nous oublions que nous sommes tous UN, que nous prions le même Être et que nous voulons tous remonter à la même Source. Voilà ce que disent les Êtres de l'espace. Et aussi que, trop souvent, les Églises nous enferment dans des dogmes et nous ferment à la vérité spirituelle qui est en nous. - Rachel : Est-ce que vous avez aussi trouvé cela dans la Bible ? - Connie : Oui : "Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous." C'est sans doute la phrase la plus importante des Évangiles. - Jean-Pierre : C'est une belle conclusion à notre entretien mais si vous avez encore quelque chose à ajouter. - Connie : Je me sens très proche de vous. À mes yeux, le travail que vous faites va tout à fait dans le sens de ce que demandent les Êtres de l'espace. » Extrait du merveilleux livre « Les Gardiens de la Terre »
de Rachel et Jean-Pierre Cartier (Éd. de la Table Ronde) 1999 ERE NOUVELLE – Novembre 2005 Le passionnant livre de Rachel et Jean-Pierre Cartier, « Les Gardiens de la Terre » (Éd. de la Table Ronde), est en vente partout. Annexe : Témoignages et confirmations de chefs et leaders spirituels amérindiens - Looks-For-Buffalo (Oglala) : « Les Avatars (Jésus, Bouddha etc. et White Buffalo Calf Woman sont des Êtres des étoiles. À chaque tribu indienne correspond une race extraterrestre qui est pour elle une sorte d’"alter-égo", de double cosmique. Les Êtres des étoiles reviendront aux temps des changements terrestres. Les premiers signes en seront des inondations, des incendies et des tremblements de terre gigantesques. White Buffalo Calf Woman, la Femme Bison Blanc, va revenir sur Turtle Island (Amérique du Nord). Chacun de nous peut attirer les Êtres des étoiles, mais uniquement avec pureté de cœur et d'intention. » - Paula Underwood (Iroquoise) : « Les Iroquois ont reçu un message télépathique d'extraterrestres leur disant : "Nous arrivons". Les Sages Iroquois répondirent : "Ne venez pas, les hommes ne sont pas prêts". Les Êtres des étoiles répliquèrent : "Commencez par vous préparer vous-mêmes". » - Henri Charger (Lakota) parle de nombreuses visites extraterrestres chez les Sioux durant les cérémonies de Sweat Lodge. Il évoque la visite d'une jeune et ravissante femme au teint pâle, au visage lumineux et à la beauté surnaturelle qui ne pouvait, selon lui, qu’être "la Femme Bison Blanc". Elle apparut notamment à deux scouts Lakotas. L'un eut des pensées de luxure envers elle et périt rapidement. L'autre rapporta son message aux Lakotas. Celui-ci concerne le retour imminent des Nations des étoiles sur la Terre. - Steve Red Buffalo (Lakota) : « Les Sioux viennent des 7 étoiles des Pléiades, qui sont connectées avec la "chanupa", la pipe sacrée. » - Holy Bull (Lakota), "homme-médecine" : « La connaissance des Êtres des étoiles est conservée et honorée dans certains sites sacrés indiens. Ces lieux émettent vers le ciel une sorte de rayon laser bleu, que les Nations des étoiles peuvent apercevoir comme des phares. Des ovnis survolent souvent Bear Butte, le cœur sacré des Black Hills. » - Rod Shenandoah (Blackfoot-Oneida), "homme-médecine" : « Les Indiens se sentent privilégiés, car ils reçoivent régulièrement des visites d'Êtres des étoiles durant leurs cérémonies. Ils voient ces événements comme sacrés, tout en considérant que cela fait intrinsèquement partie de leur vie. » - Eagle Man (Ed McGaa), militant du mouvement indien et écrivain : « Les sociétés extraterrestres sont âgées de millions d'années. Les Indiens pensent que les Êtres de l'espace vont bientôt venir. » Ci-dessus de gauche à droite : Looks for Buffalo, Paula Underwood et Eagle Man - Rod Skenandore (Blackfoot) a travaillé avec la NASA et s’est rendu plusieurs fois à bord de vaisseaux extraterrestres : « Nous avons été prévenus de l’imminence du retour des extraterrestres sur la Terre. » - Wobleza (Dakota) a été visité durant une "Inipi" (Sweat Lodge), par un grand vaisseau argenté de la Nation du Bison. « De Petits Anciens viennent maintenant dans les enfants qui naissent, qui parleront de façon précoce. La naissance du bison blanc femelle est le signe du retour des Nations du Bison depuis les étoiles. » - Pathfinder et Silver Star (Cherokees) : « Les symboles galactiques ont une double interprétation, en tant que Loi Universelle et en tant que Loi Spirituelle. Ces Lois sont encodées dans nos spirales ADN. Nous sommes responsables de la vibration selon laquelle nous vivons, donc attirez la lumière… Les Nations des étoiles font les cercles dans les champs de blé et vont atterrir bientôt… Tout le karma autodestructeur de l'Atlantide et de la Lémurie a été guéri… Le Serpent à sonnettes Diamondback (Quetzalcoatl/Kulkulkan) nous demande de l'inviter en nous pour transmuter le faux ADN. Chacun peut devenir Christ, Quezalcoatl. Soyez en équilibre avec les êtres élémentaux de la terre, de l'air, de l'eau, du feu, de l'éther, de la manna. » - Grandmother Windrider (Maya) (Jusqu’ici, il ne lui était pas permis de parler aux Blancs de la tradition Maya gardée par les femmes) : « Des changements extrêmes vont survenir. Le nettoyage du karma s’achève. Les choses s'accélèrent. Ne soyez plus bloqués par des comportements de victimes. Les Mayas, Toltecs et Olmecs, ont une tradition de contacts avec les Êtres des étoiles. Les Portes des étoiles se mettent en position pour permettre aux Avatars de l'espace d'arriver. Dans les changements terrestres qui arrivent, ceux qui ne seront pas capables de faire la transition dans le Cinquième Monde, se réincarneront ailleurs, sur une planète moins évoluée que la Terre. Certains se réincarneront ici pour nettoyer les débris, et aider à la transition vers une société mondiale de plus haute conscience. Certains seront pris par les Nations des étoiles pour vivre volontairement avec eux… Les changements arrivent, avec un planétoïde qui approche. Élevez votre vibration, pour ne pas être pris dans cette vague d'énergie… Apprenez les techniques de survie dans la nature… Cette société est malade. Il est temps que les femmes se réunissent pour se guérir entre elles, ensuite elles pourront aller guérir les hommes. » |
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