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 Les Cités de la Terre Creuse

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Le crâne de cristal découvert par Raymond Spinosi en Provence a permis de mettre en lumière l’existence de deux mégapoles intraterrestres sous le sud de la France.
 





La tradition Maya enseignait que la découverte du treizième crâne de cristal serait à l’origine de grandes révélations touchant le secret même de la Vie.

Lorsqu’à la fin de l’année 2003, Raymond Spinosi découvrit un nouveau crâne de cristal à Blauvac en Provence, il s’aperçut bien vite que cet artefact mystérieux n’était pas simplement une extraordinaire œuvre d’art qu’il eût pu facilement négocier auprès d’un conservateur de musée ou d’un riche collectionneur, mais qu’il lui "parlait", et même, qu’il l’instruisait !


Le contacté Raymond Spinosi


Soma, le Guide de Raymond, qui est aussi son Double cosmique, attribua à ce crâne le nom de "Joculus", tout en lui délivrant un message télépathique selon lequel il s’agissait bien du treizième. Il lui enjoignit en outre de l’emmener et de le mettre à l’abri dans un lieu secret et protégé des convoitises, à l’intérieur des remparts de l’antique cité de Carcassonne, d’où le crâne devait commencer à lui délivrer un enseignement ésotérique. (Cf. notre page Le XIIIème Crâne de Cristal).

Deux ans et demi plus tard, Joculus est effectivement déjà à l’origine de très grandes révélations.

La première fut la conscientisation du « chemin initiatique des étoiles en Provence ». Cette révélation a généré des travaux énergétiques sur différents sites indiqués à Raymond. Ces sites, en forme d’étoiles à cinq branches, sont au nombre de 17, constituant dans leur tracé la représentation sur Terre de la constellation du Dragon. Les étoiles pentagonales sont figurées par des sommets de montagnes situés à égale distance d’un centre géométrique. (Cf. notre page Les matrices stellaires provençales).


Selon Soma, ces 85 sommets de montagnes répartis en 17 étoiles à 5 branches, constituent une matrice en forme de losange et dessinent la constellation du Dragon à laquelle ils sont liés par un gigantesque vortex.

Il est à noter que l’anagramme de draco (dragon en grec) est cardo, le cœur, ce qui signifie que cette matrice stellaire est en relation avec l’Intelligence du Cœur. Cela peut surprendre, puisque la plupart des ufologues considèrent encore la constellation du Dragon comme un repaire de créatures reptiliennes. Les Dracos, parfois désignés sous le nom de Lézards ou Lizzies, sont généralement assimilés à des prédateurs et présentés comme des ennemis de la race humaine. Il faut savoir cependant que les 17 soleils de la constellation du Dragon comportent de nombreuses exoplanètes et des centaines de zones habitées par différentes races dont beaucoup sont des humanoïdes très en avance sur l’humanité terrestre et particulièrement bienveillants à notre égard. Ils ouvrent à notre humanité l’accès à l’Intelligence du Cœur. Or, ce n’est qu’en s’ouvrant à l’Intelligence du Cœur que les humains peuvent espérer ascensionner et vivre la Nouvelle Époque.

La seconde révélation apportée à Raymond par le treizième crâne de cristal est la conscientisation d’une très antique et vaste cité située au sein de la Terre Creuse, et dont l’énergie est représentée par deux ensembles de "matrices géoglyphiques" (Cf. illustrations ci-dessous) réparties dans le sud de la France. Ces "petites matrices" sont comme les pièces d’un puzzle. Selon Platon et la Tradition Atlantéenne, elles forment des sortes d’îlots qui, ensemble, constituent une resplendissante "Cité Mère".

L’ensemble des matrices du sud-ouest est en correspondance avec une cité de Lumière du nom d’"ANDROSIA" (Cf. tracé des matrices sur illustration ci-dessous) :



Quant à l’ensemble des matrices du sud-est, il est relié à la cité "MEDHA" (Cf. tracé des matrices sur illustration ci-dessous) :



Ces deux cités réunies forment la cité d’"ANDROSMEDHA", mégapole intraterrestre qui occupe une cavité circulaire de plus de 400 kilomètres de diamètre !

ANDROSMEDHA, est habitée par des êtres bienveillants, issus en partie de l’antique Lémurie (dont Telos fait partie) et en relation avec les habitants de la galaxie M51 (Andromède).

Ces êtres participent en ce moment même à l’activation du processus ascensionnel en insufflant une nouvelle énergie à la surface de la Terre à partir de ces matrices en correspondance avec la cité d’Androsmedha.


Activation du vortex de Medha


Notons au passage qu’Andromeda Rex, "le Roi d’Andromède", qui est un grand Être spirituel dont plusieurs télépathes ont canalisé les messages au cours des décennies écoulées, est lui-même en relation avec les cités de Lumière intraterrestres.

Cette révélation explique les nombreux contacts, photos d’ovnis et films que Raymond a réalisés dans cette région, et qui sont directement en relation avec l’égrégore de cette immense cité intraterrestre.

Aux États-Unis, le mont Shasta est l’entrée théorique vers les mondes intraterrestres de Telos. Mais il existe d’autres centres cosmo-telluriques en liaison avec les centres intraterrestres majeurs qui travaillent à la refonte des énergies à la surface pour le bien des hommes et de notre planète : Agartha, Aurora, Erks, Miz Tli Tlan, Mirna Jad, Lis Fatima, Anu Tea, et Iberah. En France, ce rôle est joué par un lieu magique où règnent de très puissantes forces "mystiques", le mont du Petit Bessillon près du village de Pontéves-Barjols dans le Var (sud-est de la France).

Toutes les cités intraterrestres ont leur contrepartie externe sous la forme de sommets de montagnes qui, ensemble, forment d’étranges figures géométriques, constituant, selon Raymond, autant de matrices énergétiques.

Voici la matrice centrée sur le lieudit "Petit Bessillon", près de la merveilleuse et énigmatique ville de Barjols dans le Var :



Et voici une autre matrice, plus vaste, intégrant celle du Petit Bessillon, et qui présente Barjols (sur l’hexagramme central en sombre sur l’illustration ci-dessous) en tant que centre mystique de la Provence :



Selon les ésotéristes et les mystiques, le concept de "Terre Creuse" désigne l’une des dimensions harmoniques contenues dans la structure hypersphérique et multidimensionnelle de la planète Terre.

La science moderne a longtemps envisagé que la structure géologique interne de la Terre se limitait exclusivement à un manteau magmatique et à un noyau interne constitué de nickel/fer en fusion.

Selon les théories jusqu’ici admises, le champ magnétique terrestre est dû aux courants électriques qui parcourent le noyau externe de la Terre (essentiellement composé de fer - environ 80% - et de nickel, plus quelques éléments plus légers), sa viscosité étant proche de celle de l’eau, sa température moyenne atteignant 4000°C et sa densité étant de 10. Ce noyau externe est censé circuler autour d'un noyau interne (essentiellement métallique, constitué par sédimentation progressive du noyau externe, la pression le maintenant dans un état solide malgré une température supérieure à 5000°C et une densité d’environ 13), le mouvement de rotation provoquant une sorte d’effet dynamo.

Isaac Plotin, physicien, membre du groupe AVALON, et auteur de l’intéressant livre "Sciences secrètes" (Éd. Louise Courteau) est le porte-parole d’un collectif de scientifiques travaillant sur l’hypothèse que la Terre puisse être creuse et son centre occupé, non par un noyau interne constitué de nickel/fer en fusion, mais par un soleil intérieur constitué d’antimatière !

Voici son témoignage :

« Étant donné que la matière et l’antimatière sont supposées s’annihiler, comment notre Terre pourrait-elle contenir un cœur d’antimatière ?

Tout simplement du fait de l’existence de particules que j’ai appelées particules G, afin de les différencier des autres particules constitutives de la matière et de l’antimatière. J’ai compris en effet que les atomes d’antimatière peuvent coexister avec la matière, alors que les particules d’antimatière ne le peuvent pas, et ce point est fondamental pour la suite.

En effet, contrairement à une particule, un atome d’antimatière dispose d’antiélectrons ou positons qui tournent autour du noyau. Ces positons ont une charge électrique positive et attirent, par conséquence, les particules G dont la charge est négative. Ces particules du milieu constituent une sorte de bouclier de protection tournant autour de l’antiatome. Un atome de matière qui s’approche d’un atome d’antimatière est repoussé par ce bouclier de protection et les deux atomes ne peuvent s’annihiler, alors qu’une particule d’antimatière, surtout si elle est de charge négative comme l’antiproton, s’annihile rapidement au contact de la matière.

À titre d’exemple, considérez un atome d’antimatière comme une boule de bois revêtue d’une gaine de caoutchouc. La boule représente l’antiatome et la gaine les particules G qui forment, autour de lui, un bouclier protecteur. Si vous lancez cette boule contre une boule non revêtue qui représente un atome de matière, vous comprendrez facilement que les deux boules se repoussent et que jamais les deux boules en bois ne viendront au contact l’une de l’autre. L’antiparticule, par contre, ne peut être représentée par une sphère. Elle vibre pratiquement sur un segment de droite et c’est plutôt une lame d’acier qui peut la représenter, lame revêtue ou non de caoutchouc suivant qu’elle est de charge positive ou négative. Vous comprendrez que la lame d’acier se fiche sans problème dans la boule en bois et même une lame revêtue peut s’y enfoncer, si elle est lancée avec suffisamment de force. Ainsi les antiparticules s’annihilent-elles au contact de la matière et il est facile de comprendre, avec cet exemple, qu’une lame gainée, un positon, peut survivre plus longtemps qu’une lame qui ne l’est pas comme l’antiproton. Peut-être est-ce la raison pour laquelle il a été retrouvé, dans le rayonnement cosmique, essentiellement des antiparticules positives.

Imaginons maintenant une boule d’antimatière dans notre espace constitué de ces particules G que nous commençons à bien connaître. Contrairement à une planète de matière qui les repousse, notre sphère d’antimatière attire ces particules. La pression du milieu à proximité de sa surface est très élevée. Quand on s’éloigne de cette surface, la pression diminue jusqu’à une pression minimale, inférieure à la pression neutre du milieu pour augmenter à nouveau vers cette pression.

Si vous demandez pourquoi la pression diminue pour ensuite augmenter, au lieu de simplement diminuer vers la pression neutre, sachez que c’est une loi en physique et en météorologie : si vous créez, dans un milieu au repos, une pression en un endroit, vous créez par réaction une dépression en un autre endroit. Voyez les vagues qui se créent sur une mer au repos, elles créent un haut, mais aussi un creux.

La sphère de pression minimale qui se trouve située à une certaine distance de la surface de notre astre d’antimatière est très importante pour notre étude, car elle constitue ce qu’il est possible d’appeler « un piège à matière ». Nous allons comprendre comment une boule d’antimatière, placée dans notre univers peut automatiquement, en fonction de lois physiques parfaitement compréhensibles, se créer une ou plusieurs écorces de matière.

Nos scientifiques, je vous l’ai dit, sont aujourd’hui convaincus qu’à l’origine du monde, il y a plus de 13 milliards d’années, il a dû se former autant d’antimatière que de matière. Si tel est bien le cas, cette antimatière ne n’est pas annihilée comme certains le pensent et elle n’a pas été repoussée au fond de l’univers. Elle s’est simplement constituée des écorces de matière et se trouve aujourd’hui sous nos pieds !

Incroyable, me direz-vous ! Je vous répondrai simplement qu’il s’agit de l’enchaînement pur et simple de lois physiques et non d’hypothèses et de spéculations, ni de science-fiction. Si, comme j’essaye de vous le faire comprendre, ce milieu cosmique avec ses particules G négatives est une réalité et si un jour matière et antimatière ont coexisté comme les scientifiques le pensent, ne doutez pas du lieu où se trouve cette dernière. Elle constitue probablement un beau Soleil central et éclaire une sphère où les lois de la gravité sont inversées et où il est possible de se promener. Mais n’anticipons pas ! Je souhaite que vous compreniez le parfait fonctionnement du piège à matière que constitue une boule d’antimatière placée au sein du milieu cosmique et comment celle-ci va pouvoir se constituer non seulement une, mais plusieurs écorces de matière.

Visualisez notre sphère d’antimatière et cette sphère de pression minimale située à une certaine distance. Vers l’intérieur comme vers l’extérieur de cette sphère théorique, la pression du milieu augmente. Elle est le lieu où la gravité s’inverse. La matière placée d’un côté comme de l’autre de cette sphère reviendra vers elle. Elle voit en effet sa face la plus éloignée soumise à une pression plus importante que l’autre face. Le principe est le même que lorsque nous avons démontré que la force de gravitation résultait des différences de pression du milieu.

Ainsi, toute matière se trouve-t-elle piégée au niveau de cette sphère théorique, lieu d'inversion de la pression du milieu. Elle s'accumule et constitue progressivement une écorce autour de notre boule d'antimatière, mais à une certaine distance. Cette écorce dispose d'une surface extérieure où la pression du milieu entraîne une gravité dirigée vers le centre, et une surface intérieure ou le milieu entraîne une gravité inverse. Il est possible de marcher sur la surface extérieure, c'est ce que nous faisons chaque jour, à la lumière du Soleil. À l'intérieur, il est possible d'y marcher aussi, à la lumière, cette fois, d'un astre antimatière qui brille de façon permanente. La nuit n'existe pas sur 1e grand continent intérieur !

Toutes les planètes, le Soleil, et les étoiles sont donc, selon mon hypothèse, partiellement creuses avec, en leur centre, des noyaux d'antimatière et, entre les deux, des particules G qui servent d'isolant. »

Extrait de "Sciences secrètes"
d’Isaac Plotain (Éd. Louise Courteau)




Si l’hypothèse d’Isaac Plotain était confirmée, la Terre Creuse cesserait définitivement d’être considérée tantôt comme une élucubration tantôt comme une aberration, et le complexe réseau de matrices intraterrestres mis à jour par Raymond Spinosi prendrait immédiatement toute son importance.

Il est possible, en tous cas, que ce réseau soit un moyen conçu par les Intraterrestres bienveillants en vue de diffuser télépathiquement une partie de leurs connaissances à certains habitants de la surface terrestre, afin qu’elles puissent être transmises le plus rapidement possible à l’ensemble de notre humanité. Les races de la surface risquent en effet de continuer à s’entredéchirer et à être sujettes à des tribulations de plus en plus intenses jusqu’à ce qu’elles atteignent la conscience des plans les plus subtils de l’existence.

La plupart des races intraterrestres semblent au contraire avoir déjà intégré depuis longtemps les connaissances leur permettant de poursuivre leur propre évolution en harmonie avec les Lois de la Nature. En particulier, elles utilisent des énergies qui ne produisent pas d’impacts agressifs, c’est-à-dire que l’énergie fossile aussi bien que l’énergie nucléaire sont bannies de leur civilisation.

Une autre différence entre les races de la surface et les races intraterrestres est que ces dernières peuvent voyager dans les différents niveaux de notre univers habités par des êtres évolués et intelligents. Elles sont intégrées à leur environnement et le respectent, coexistant avec lui sur un mode fraternel encore inconnu de l’humanité de surface, tout en semblant désireuses de nous le faire partager.

Raymond Spinosi semble avoir été missionné pour révéler ce complexe réseau de matrices intraterrestres, afin de mettre en lumière l’existence de vortex d’influences bénéfiques désormais accessibles à notre humanité, de par la générosité des peuples d’Androsia, de Medha et de toutes les cités de Lumière de la Terre Creuse.

Le processus d’assimilation de ces énergies est un processus magique qui relève de la plus haute alchimie spirituelle.

Le comprendre, c’est déjà franchir le premier pas vers l’Ascension.

ÈRE NOUVELLE – Mai 2006




(Cf. horaires et informations sur le site du GRASAAL, ou par téléphone : 04 94 86 59 60).








Au travers d’un périple effectué en Provence dans « les terres du Saint-Graal », le lecteur prend connaissance d’un « chemin initiatique des étoiles » et accède progressivement à des plans supérieurs de Conscience Cosmique.




Pour commander le livre de Raymond Spinosi et Jean-Michel Raoux, « La Mission Céleste » (Éditions les 3 Spirales), vous pouvez adresser un chèque de 18 € (port inclus pour la France) à l’ordre de PLEIN SOLEIL, à l’adresse suivante : Lionel CLERGEAUD, Editions Les 3 Spirales, rue Ravel, 84240 La Motte d'Aigues, en précisant : « commande mission céleste ».


Raymond Spinosi et Jean-Michel Raoux organisent des sorties sur des sites sacrés et initiatiques au sein du Groupe de Recherches Appliquées en Sciences Avancées et Alternatives "GRASAAL".

Vous pouvez :
- adresser un e-mail à Raymond SPINOSI ou à Jean-Michel RAOUX
- écrire au GRASAAL à l'adresse suivante : GRASAAL, Campagne Sainte-Anne, route de Rians, 83 470 Ollières.
- visiter le site du GRASSAL ICI


Autres pages de notre site consacrées aux travaux de Raymond Spinosi et Jean-Michel Raoux :

Les matrices stellaires provençales.

L’Ascension non-linéaire.

Découverte en Provence par Raymond Spinosi du treizième crâne de cristal.

Récit d’une téléportation dans la matrice d’un vaisseau stellaire.


Différentes photos d’OVNI prises par Raymond Spinosi peuvent être vues ICI

 
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