Retour au Sommaire du Site

 Rose et le secret du Sphinx

  Nouveautés  
  Editoriaux  
  Messages  
  Portraits  
  Dossiers  
  Liens  

Il n’est pas impossible que le secret du Sphinx de Gizeh ait été transmis il y a déjà 30 ans par un extraterrestre de Sirius à une jeune paysanne provençale.
 





Rose, jeune provençale, mère d’une petite fille de 4 ans, avait elle-même 24 ans en 1952, lorsqu’il lui fut donné de vivre une extraordinaire aventure. Sa rencontre avec des Géants venus d’un système planétaire en orbite autour de Sirius, est relatée dans le livre « Rencontre avec les Extraterrestres » paru en 1979 aux Éditions du Rocher mais malheureusement difficile à trouver aujourd’hui (Cf. notre page Rose et les Géants).

Rose était une jeune-femme simple, issue d’un milieu modeste : elle avait quitté l’école très jeune, n’avait aucune affinité particulière pour la science-fiction, l’ésotérisme et l’égyptologie. En cette époque où la télévision n’était même pas encore née, il lui eût de toute évidence été impossible d’envisager elle-même que la Lune puisse être un satellite artificiel de la Terre et notre planète, une sorte de « prison galactique », un bagne pour les bannis de la Constellation du Grand Chien, hypothèse d’ailleurs reprise quelques années plus tard par le célèbre contacté américain George Adamsky, à moins d’en avoir été informée par des intelligences supraterrestres.

C’est pourquoi tout ce qui est rapporté dans son livre mérite d’être considéré avec la plus grande attention, à commencer par l’interprétation qui y est apportée à l’énigme du Sphinx de Gizeh et au fameux nombre 666 qui était, selon Rose, inscrit sur le poitrail du Sphinx originel.





Rose raconte qu’un beau jour, il lui fut donné de vivre l'expérience d'un phénomène curieux, très probablement celui du voyage astral ou de la projection de conscience : " J'eus l'impression que quelque chose m'empoignait la nuque ... Au même moment, je sentis une paralysie progressive s'emparer de mon corps ... je me retrouvai debout à l'air libre. "

Instantanément, elle aperçut face à elle la statue du Grand Sphinx : " Elle paraissait intacte et luisait doucement car elle semblait avoir été passée au vernis rouge ... un rouge brun. "

Rose fit alors la rencontre d'un étrange personnage à l’aspect majestueux mais à l'apparence plutôt sévère. Elle déclare dans son livre qu'il s'appelait Belmo et que ses compatriotes de Sirius le surnommaient Meri-Meroan, ce qui peut se traduire par « le Suprême » ou encore « le Valeureux » !

Après lui avoir fait subir plusieurs épreuves initiatiques, Belmo fit découvrir à Rose les différents plans du Sphinx de Gizeh initialement conçus.

Le premier de ces plans représentait un Sphinx à deux têtes. Celles-ci, dont l'une était plus haute que l'autre, se tournaient le dos, si l’on peut dire.

Rose écrit : « Je vis alors le Sphinx tel que nous le connaissons aujourd’hui, mais intact et les pattes avant bien plus courtes que celles que l'on peut voir sur les cartes postales représentant l'énigmatique monument. »

Belmo précisa alors :

« C'est ainsi que le Sphinx aurait dû être, mais sculpter en plein roc ne fut pas chose aisée. Au cours de l'entreprise, un morceau de rocher éclata, privant ainsi le Sphinx de l'une de ses têtes. Il fallut alors repenser le monument, en rectifier la forme, pour l'adapter à ce qui restait de l'énorme rocher, et ce fut celui-ci. Seulement, depuis lors, le secret du Sphinx devint indéchiffrable...

- Le secret du Sphinx, demandai-je avec curiosité, qu'est-ce que c'est ?

- Tout simplement ceci, répondit-il. Le corps est ANIMAL. La tête est ESPRIT.

Cela démontrait très clairement que l'esprit peut dominer sur le corps.


NOTA 1 : Selon la tradition initiatique, le Sphinx actuel (monocéphale) est une représentation du Zodiaque en relation avec les quatre éléments : il possédait à l’origine une tête d'homme (Verseau, signe d'air), un corps de taureau (Taureau, signe de terre), des pattes de lion (Lion, signe de feu) et des ailes d'aigle (Scorpion, signe d'eau), ces dernières n’ayant pas survécu aux assauts du temps.


Les 4 signes fixes du Zodiaque figurés par le Sphinx (Verseau, Lion, Taureau, et Scorpion/Aigle) forment la Croix hermétique, symbole des initiations égyptiennes.

Bien que réalisé beaucoup plus tardivement que celui de Gizeh, le Sphinx mésopotamien de Nimrud (IXème siècle avant J.C. - Cf. photo ci-contre) est, du point de vue astrologique, la transcription fidèle du symbolisme originel du Sphinx. On retrouve d'ailleurs ces symboles dans l'Apocalypse de Saint-Jean à travers la description des quatre Animaux Saints dont il est dit qu’ils se tiennent devant le Trône de Dieu et que, jour et nuit, ils ne cessent de chanter : "Saint, Saint, Saint est le Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui était, qui est et qui vient !"

La tradition initiatique enseigne en effet que dans le Zodiaque primordial, c’est l'Aigle qui occupait la place attribuée aujourd’hui au Scorpion. Du fait de la mauvaise utilisation de l’énergie sexuelle par l’être humain, l’Aigle est tombé et s'est transformé en Scorpion. Il incarne la chute originelle, telle qu'elle est symboliquement décrite dans la Genèse, après que l'homme ait mangé du fruit de l'Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal.

À l’époque où le Sphinx fut construit par les Égyptiens, la croix qu’il figure n’était pas encore devenue le symbole du sacrifice de Jésus. Elle représentait les quatre courants énergétiques qui parcourent l'espace du zénith au nadir et du levant au couchant.

Lorsqu’il étend ses bras, l’homme forme également une croix. Il est situé au croisement de ces énergies, reçoit leurs influences et doit apprendre à travailler avec elles.

La croix était le symbole de la religion solaire égyptienne fondée par Hermès-Thot (Cf. notre dossier consacré aux mystères de l’ancienne Égypte).



La tête la plus haute devait, quant à elle, démontrer que l'esprit qui parvient à dominer le corps peut dominer l'esprit. Celui qui verra cette victoire de l'esprit sur l'esprit trouvera la clé de la victoire de l'esprit sur la matière !


NOTA 2 : « L’esprit » signifie d’un côté l’esprit humain, c’est-à-dire l’intellect qui permet à l’homme de raisonner et de comprendre les lois de la matière, et de l’autre l’Esprit divin, qui lui permet de se hisser au rang d’Être spirituel.


- C'est cela, le secret du Sphinx ?

- Mais oui ! »

Cela ne me fit ni chaud ni froid d'être dans la confidence !

J'étais même un peu déçue. Je ne sais pourquoi, je m'attendais à quelque chose de plus merveilleux, de plus magique enfin...




NOTA 3 : Pour comprendre le symbolisme de ces deux têtes du Sphinx originel (bicéphale), il faut garder en mémoire que, dans l’Égypte d’Hermès-Thot, les monuments sacrés n’étaient pas considérés comme de simples lieux de culte, mais avant tout comme des relais énergétiques entre le Ciel et la Terre (Cf. notre page « la corrélation d’Orion »). Les étoiles du firmament n’étaient pas encore devenues ces corps célestes lointains, plus ou moins morts, plus ou moins inaccessibles, que les scientifiques actuels s’entêtent à vouloir nous présenter. Les Égyptiens voyaient dans les constellations des Êtres spirituels et vivants, habités de myriades d’entités avec lesquelles les hiérophantes savaient communiquer. Ces derniers étaient capables de les identifier d’après leur fréquence vibratoire, et de canaliser leur énergie pour accomplir des travaux gigantesques, ce qu’ils firent en leur temps…

Dans « Le Mystère d’Orion », Bauval établit d’ailleurs scientifiquement et de manière irréfutable le lien entre les trois plus grandes pyramides de Gizeh : Kheops, Khephren et Mykerinos, et les trois étoiles du Baudrier d’Orion : Mintaka (Delta d’Orion), Al Nilam ((Epsilon d’Orion) et Al Nitak (Zéta d’Orion).

Les deux têtes du Sphinx originel fournissent ainsi une représentation de la Force cosmique unique agissant dans des directions opposées sur les deux pôles terrestres. Elles expriment les deux composantes de la manifestation divine sur notre planète : un mouvement descendant du Ciel vers la Terre ou de l'Esprit à la vie matérielle et un mouvement ascendant de la Terre vers le Ciel, associé à une renaissance spirituelle. Comme l'influence combinée du Ciel et de la Terre s'exerce dans des sens opposés, chaque opération de dissipation ou de dissolution à l'un des pôles s'allie avec une opération de condensation ou de coagulation à l'autre pôle afin de maintenir un équilibre d'ensemble.

Il est d’ailleurs intéressant de noter que la plus ancienne sculpture humaine connue à ce jour, le personnage androgyne découvert il y a quelques années à Catal Hüyük, au sud de la Turquie, est un être à deux têtes. Ces deux têtes correspondent aux pôles céleste et terrestre de la Force cosmique.




Signalons enfin que chacun des quatre évangélistes (Jean, Marc, Luc et Matthieu) est traditionnellement représenté par l’un des quatre signes zodiacaux qui figurent sur la croix symbolisée par le Sphinx. Or, le signe qui correspond à Jean, celui-là même qui eut la vision des quatre Animaux Saints retranscrite dans l’Apocalypse, l’Aigle (c’est-à-dire le Scorpion divinisé), est curieusement présenté dans plusieurs documents templiers et sur certaines églises médiévales sous l’aspect d’un Aigle à deux têtes !





« Qu'est ceci ? dis-je en désignant le troisième plan.

- Ah, celui-ci, c'est différent ! Regarde bien ! »

Je me penchai avec attention sur le nouveau plan qu'il déroulait sous nos yeux. Le nouveau dessin représentait toujours le Sphinx mais à demi immergé.


NOTA 4 : Selon Robert Bauval, le Sphinx de Gizeh fut sans doute édifié non pas 4.500 ans, comme le soutiennent encore la plupart des égyptologues, mais 10.500 ans avant Jésus-Christ, durant l’Ère astrologique du Lion, ce qui expliquerait qu’il repose sur des pattes de lion. Les traces abondantes d’érosion retrouvées sur le Sphinx confirment d’ailleurs qu’il a jadis subi des niveaux de pluviométrie totalement disparus de la vallée du Nil depuis plus de 11.000 ans, à moins que, comme l’indique Rose, il n’ait été, à un moment de son histoire, partiellement puis totalement immergé.


Sur le poitrail sortant de l'eau je vis le chiffre 666. L'énorme tête rougeâtre était ornée de plusieurs piques, un peu comme la tête de la statue de la Liberté dans le port de New York.

« Qu'est-ce que signifient toutes ces pointes sur la tête ?

- Cela représente les bannières enroulées de dix nations. Cela signifie que lorsque ces bannières seront réunies, la Fin des Temps sera proche. L'heure de la récolte des fruits amers aura sonné. »




NOTA 5 : Les bannières enroulées des dix nations réunies sont une allusion probable à l’Europe réunifiée et représentent les 10 pays fondateurs de la CEE avant son élargissement actuel à certains pays de l’est.

C’est après la naissance de l’Europe des 10, que le projet d’implantation progressive de la micro-puce électronique à l’ensemble de l’humanité fut secrètement élaboré par les Illuminati et le gouvernement mondial.

Voici ce qui est écrit par Jean (l’Aigle à deux têtes !) dans l’Apocalypse :

« Ils adorèrent la Bête… On lui ordonna de proférer des paroles d’orgueil et de blasphème… Elle obligea tous les hommes, gens du peuple et grands personnages, riches ou pauvres, à se faire marquer d’un signe sur la main droite ou sur le front. Et personne ne pouvait acheter ou vendre sans porter ce signe : soit le nom de la Bête, soit le nombre correspondant à ce nom. C’est ici qu’il faut de la sagesse : que celui qui a de l’intelligence déchiffre le nombre de la Bête ; car c’est un nombre humain, c’est six cent soixante-six. »

Apocalypse de Jean, Ch. 13 v. 4-5 et 16-17-18


Si l’on établit un parallèle entre ces versets de l’Apocalypse écrits il y a 2.000 ans et la technologie utilisée aujourd’hui par la firme A.D.S., qui fabrique et commercialise actuellement la micro-puce (Cf. notre page La puce sous-cutanée), on s’aperçoit :

1. que les deux endroits du corps humain où la température change le plus rapidement sont la partie du front sous la racine des cheveux et le revers de la main. Or, le circuit de rechargement de la micro-puce est justement un circuit thermo-électrique dont le fonctionnement est rendu possible grâce aux amplitudes de températures.

2. que cette puce, inspirée du système du code-barres, possède un numéro de série à 18 chiffres, ce numéro étant divisé en 3 groupes de 6 chiffres.

Le chiffre 666 représente également les 3 signes animaux coupés de l'unité qu'ils forment avec le signe humain, avec la tête de la croix, avec le Christ solaire.

Vous remarquerez que le chiffre 666 s'écrit comme le chiffre 999 à l'envers.

999 = 1000 (le nombre de la perfection absolue) moins 1.

Quand on enlève la tête, le 1, le Dieu en nous, le reste se renverse et, en tombant, devient animal !



Je ne pus réprimer un petit frisson, et je demandai : « Et ce chiffre, que représente-t-il ?

- Une entrave, une opposition à l'évolution naturelle des choses. C'est une immense catastrophe pour le genre humain ! »

Je remarquai que sur ce dessin le nez du Sphinx était abîmé tel qu'on le voit de nos jours.

« Comment est-ce arrivé ? demandai-je en posant un doigt sur le dessin à la place du nez. Quelqu'un m'a dit que c'était un soldat qui avait fait cela.

- C'est faux ! Cela fut dû à l'ancre d'un énorme navire qui accrocha et détériora ainsi le nez du Sphinx. »

À mon avis, quelque chose clochait ! Comment un énorme navire pouvait-il jeter l'ancre dans un désert de sable ? Je lui fis part de mes doutes. Il me répondit :

« À cette époque-là, le Sphinx était sous l'eau ! »

Sous l'eau ! Mais alors cela laissait supposer d'abord qu'il avait été témoin d'un déluge ! C'est donc qu'avant cela il avait été édifié sur la terre ferme. Mais le temps où il avait été immergé avait dû être fort long... Le temps qu'une civilisation en arrive à naviguer sur d'immenses bateaux à ancre ! Voyons, mettons dix à douze mille ans tel que nous le connaissons, ajoutons autant passé sous les eaux, ensuite combien de temps passé à l'air libre ? Peut-être autant ! Mettons trente mille ans ! Incroyable ! J'en avais le vertige... Le Géant de Pierre était-il si vieux que cela ? Qui pouvait bien l'avoir conçu ?

Comme s'il avait deviné ma question, mon compagnon dit :

« II fut édifié sous le règne du premier roi égyptien : " Raai " ».

J'écris ce nom en phonétique, ne sachant si l'orthographe est bonne, vu que c'est la première et la dernière fois que j'ai entendu ce nom-là.

Trente mille ans, peut-être plus ! C'en était trop ! Je trouvais que j'en avais assez appris pour aujourd'hui. J'éprouvai le besoin de retrouver quelque chose de simple, de réel... d'humain !

Déjà, mon cicérone roulait les dessins du Sphinx, les rangeant dans leur habitacle avec soin, faisant la même chose avec le premier rouleau qu'il m'avait montré et qui contenait des formules. Il revissa ensuite les tuyaux dorés dans leur mur de granit.

« Ce roi " Raai " vivait il y a combien d'années ?

- Près de quarante mille ans. »

C'était encore plus que je ne l’avais supposé d'après mes rapides calculs... »

Extrait de « Rencontre avec les Extraterrestres »
Éditions du Rocher 1979
Présentation et notes : Olivier de Rouvroy





Voir également sur notre site :

notre grand dossier PYRAMIDES SECRÈTES


 
Retour en Haut de la Page


Nouveautés - Editoriaux - Messages - Portraits - Dossiers - Liens

Copyright © 2008 - Les Portes de l'Ère Nouvelle - Tous droits réservés

Version Imprimable de cette Page